Service militaire partie 1
- Le 12/04/2019 à 13:36
- Dans Histoires érotiques
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SERVICE MILITAIRE Partie 1
Par: Mike
Mon mari est militaire. Officier dans un régiment de
parachutiste. Il est donc fréquemment absent. Il part
souvent en opération extérieure et dans des pays à
risques comme l'Afghanistan, le Kosovo ou la Bosnie. Je
m'appelle Patricia, j'ai 38 ans, je ne suis pas très
grande, brune, plutôt Jolie Marc, mon mari, m'a fait 5
beaux enfants, que j'élève seule la plupart du temps. Je
vis en caserne dans la région parisienne. Il y a une
grande solidarité entre femmes de militaire quand l'une
d'entre elle se retrouve seule pour de longs mois. Depuis
deux mois, mon mari ainsi que plusieurs autres sont
partis en mission nous laissant de nouveau seule. Je
passe souvent l'après midi avec d'autres femmes de
militaire quand les enfants sont à l'école. L'une d'entre
elle, Béatrice, est la femme du commandant de la
garnison. La cinquantaine épanouie toujours tirées à
quatre épingles, rivalisant d'élégance dans des tailleurs
très chics, j'ai un peu honte de m'habiller qu'en
pantalon ou avec de longues jupes et des chaussures à
talons plats alors qu'elle ne mets que des escarpins aux
talons qui me paraissent démesurément grand! Mais
avec les enfants à m'occuper, il est vrai que je ne prends
plus le temps de prendre soins de moi. Et puis pourquoi
m'habiller plus sexy? Pour plaire à qui? Je n'ai qu'un
seul homme dans ma vie, mon mari!
Un jour, la voiture de fonction du commandant rentra
dans la cour, conduite d'une main de Maitre par David,
le chauffeur du commandant. Celui-ci n'étant pas la, il
devait s'agir de Béatrice. En effet, elle sorti de la voiture
que David s'empresse de lui ouvrir. Elle sort en dévoilant
généreusement ses jambes gainées de nylon noir, la
jupe remontée pratiquement jusqu'à l'aine. Le chauffeur
se rince l'œil et regarde les cuisses de la femme du
commandant. Je suis choquée de la voir se comporter de
cette façon, elle pourrait faire attention quand même et
mieux se conduire! Mais enfin, ceci ne me regarde pas
après tout.
Le soir même, je sortais rapidement de chez moi, les
enfants étant couchés, pour aller demander à une de
mes voisines de bien vouloir me donner des oeufs pour
faire une omelette. Je traversais la cour sous le regard
de plusieurs militaires qui me dévisage ce qui me fit
rougir comme une première communiante. Je passais
devant le garage et j'entendis un bruit. Je m'arrêtais net,
tendant l'oreille. Un voleur? Non pas possible. Je
m'interroge. Dois je prévenir la Sentinelle? Le coeur
battant la chamade dans ma poitrine, je m'approche du
garage et entrouvre la porte. J'aperçois un homme
debout, de dos, Je reconnais David, il est face à
Béatrice, toujours vêtue de son tailleur du matin.
- Alors? Tu te décides?
Béatrice, blanche, semble abattue. Que se passe t'il
donc? Elle ouvre la veste de son tailleur d'une main
tremblante dévoilant sa généreuse poitrine qui déborde
de son soutient gorges. David s'approche et lui baisse
les balconnets. Les seins lourds de Béatrice le narguent,
les pointes dardant fièrement.
David lui appuya sur la tête et elle s'agenouilla devant
lui. Je ne vois plus bien la scène maintenant mais il
n'est pas bien compliqué de comprendre qu'elle est en
train de lui sortir son sexe pour lui faire une fellation! Je
reste interloquée, je n'aurais jamais pensé que la femme
du commandant pouvait se comporter de cette façon! Je
n'entends plus que les halètements de David qui donne
des coups de reins pour mieux s'enfoncer dans la
bouche de Béatrice. David la relève et la cambre sur le
capot de la voiture de son mari. Il lui releva sa jupe
dévoilant ses bas noirs et le porte-jarretelles. Son sexe,
tendue, luisant dans l'obscurité est impressionnant par
sa taille. Je rougis en pensant que je suis en train de
regarder cette scène honteuse. Mais je ne parts pas, je
reste comme hypnotisée. David embrocha Béatrice d'un
furieux coup de rein et celle-ci poussa un long
gémissement quand elle sentit la bite de David la
pénétrer. Il commença à s'agiter la bourrant
frénétiquement, la baisant sauvagement en lui donnant
des grands coups de reins. Béatrice, les cheveux en
bataille, la bouche ouverte, le rouge aux joues, halète et
secoue la tête dans tous les sens en balbutiant des
mots sans suite .
- Oui. plus loin. Plus fort.
Je ressens une douce chaleur dans mon bas-ventre. J'ai
la gorge sèche. Je n'arrive pas à détacher mon regard de
cette horrible scène qui est en train de se dérouler sous
mes yeux. Je ne peux que regarder la bite de David qui
rentre et sort de la chatte de Béatrice qui gémit de plus
en plus fort. Sans m'en rendre compte, ma main descend
à auteur de mon bas ventre et commence à caresser mon
Mont de Venus. Je suis vêtu d'une jupe longue que,
après avoir hésité une fraction de seconde, je commence
à relever. Je regarde autour de moi, terrorisée. Et si
quelqu'un me voyait? Je me caresse a travers mon
collant couleur chair. Ma main se faufile dans mon
collant et écarte mon string. Mes doigts impatient
s'empare de mon clitoris et le pince, le tord. David a
relevé Béatrice et l'a mise sur le capot, ses jambes
relevées à la verticale, posées sur ses épaules. De
nouveau il la défonce à grand coups de reins. Il
s'enfonce avec tellement de fougue qu'un des escarpins
de Béatrice tombe par terre! Elle donne des coups de
bassin comme pour mieux s'empaler sur la queue de
David qui la pistonne Je titille mon clitoris en me
mordant les lèvres, je donne inconsciemment des coups
de bassins. Je gémis.
Et sans le savoir, Béatrice répond à mon gémissement en
poussant un cri! Elle vient de jouir.
David continue de la baiser en lui demandant si elle aime
se faire troncher comme une salope.Elle ne répond pas,
ne poussant qu'un gémissement.
Une houle délicieuse traverse mon bas ventre, je me
mords les lèvres pour ne pas hurler quand l'orgasme me
terrasse. Les jambes flageolantes, je manque de tomber
par terre.
David a sortit sa bite et se masturbe au dessus du
visage de la femme du commandant qui ouvre la bouche
et sort sa langue. Il poussa un cri en déchargeant tout
son sperme sur le visage de Béatrice. Elle reçu sur son
nez des filaments qui coulèrent jusque sur son menton.
Honteuse, je laisse retomber ma jupe et fais demi tour
pour rentrer chez moi.
J'ai eu beaucoup de mal à m'endormir après avoir été le
témoin involontaire des débauches de la femme du
commandant. Toute seule dans mon lit, je me suis
masturbée plusieurs fois avant de sombrer dans un
sommeil réparateur. Le lendemain matin, je sortais pour
aller faire des courses en centre-ville quand je tombais
sur Béatrice et son époux de commandant qui me salue.
Il est vraiment la caricature du militaire, raide comme la
Justice, les cheveux coupé très court, un regard froid,
une allure martiale. Je discute avec eux parlant de tout
et de rien. Pendant qu'il me parle, je me demande s'il est
au courant que sa femme se fait troncher par son
chauffeur? J'intercepte plusieurs fois le regard inquiet
de Béatrice posée sur moi. Un doute affreux me saisie.
M'aurait' elle vu hier soir?
Les enfants sont couchés et je suis devant la télé ou je
regarde « Qui veut gagner des Millions? » Jean-Pierre
Foucault est en train de poser les premières questions
du 1er palier (les plus faciles) quand la sonnette retentit.
Je me lève pour aller ouvrir, je n'ai pas peur, je vis avec
des militaires. Il n'y a pas mieux comme protection. Je
suis étonnée de découvrir Béatrice et David. Celui-ci
pousse Béatrice dans mon appartement et ils entrent
sans vraiment me demander mon avis. Je suis suffoquée
par autant de sans-gêne mais je ne dis rien, c'est quand
même l'épouse du commandant. Béatrice est habillée de
façon curieuse. Elle porte un manteau de fourrure ce qui
est surprenant, la température extérieure n'étant pas
particulièrement fraiche ce soir .Je suis vêtue d'un
jogging et je m'en excuse auprès de mes « invité » de
dernière minute. David me regarde et me lance
- C'est vrai que ce n'est pas tellement sexy, vous
pourriez vous habiller autrement, prenez exemple sur
Mme.
Je reste stupéfaite devant autant d'aplomb! De quel droit
un simple chauffeur se permet' il de me parler sur ce ton,
mais pour qui se prend-il? Je regarde Béatrice qui ne dit
pas un mot, baissant les yeux. David s'approche de moi.
- Tu t'es bien rincer l'œil hier soir, pas vrai? T'as pris
ton pied, ma salope?
Mon visage s'empourpra et je sentis mon coeur
s'accélérer. Mon Dieu! Il m'avait vu!
David sortit des photos de sa poche me les tendant avec
un sourire ironique. Je failli m'évanouir en me
reconnaissant sur les clichées! On me voyait nettement
en train de me masturber hier soir. Qui avait pu prendre
ces photos? Ce ne pouvait pas être David puisqu'il était
trop occupé a ce moment la ni Béatrice. Comme si il lisait
dans mes pensées, David m'expliqua.
- C'est Bruno, la sentinelle de garde hier soir qui t'as vu
et a pris ces photos avec son téléphone portable. Bon
elles ne sont pas de super qualités, je le reconnais, mais
on te reconnaît bien non?
Je ne réponds pas, oui on me reconnaît très bien même.
David s'approcha de Béatrice et lui demanda d'ouvrir
son manteau de fourrure. Elle rougit violemment et me
lança un regard apeurée. Elle s'exécuta, ouvrant son
manteau. Elle apparut uniquement vêtue d'un porte-
jarretelles rouges avec des bas et des talons aiguilles
rouges également. Je reste sans voix en découvrant la
femme du commandant attifées de cette manière. Comme
une pute!
- Tu vas venir avec nous, je vais te montrer quelque
chose de très intéressant.
Je proteste que je ne veux pas venir avec eux mais David
me menace alors de montrer les photos à tous les
trouffions de la caserne. J'imagine la réaction de mon
mari si cela s'apprend.Je vais pour enfiler un anorak
quand David m'arrêta.
- Attends! Tu vas te saper autrement ; t'as rien de plus
sexy?
Je suis contrainte de l'emmener dans ma chambre ou il
inspecte ma garde robe.Il me sort un short que je ne
mets que l'été et une paire de collant couleur noir mais
brillant satinée avec des escarpins à hauts talons que je
n'ai du mettre qu'une fois dans ma vie au cours d'une
soirée.Il me demande de rester seins nues comme
Béatrice. J'enfile un imperméable. Je proteste une
dernière fois que je ne peux partir en laissant mes
enfants seules. David sort son téléphone et appelle
quelqu'un.
Quelques minutes plus tard, une jeune fille en uniforme
de soldat arrive. Je la connais de vue, elle vient d'être
affectée dans cette caserne. Elle embrasse goulûment sur
la bouche David. Ils sont donc amants.Elle me regarde et
demande.
- C'est elle ta nouvelle recrue?
Je reste interdite. Nouvelle recrue? Ils y en auraient
d'autres? Et recrue pourquoi faire?
Elle s'approche de moi et écarte les pans de
l'imperméable. Ses mains s'empare de mes seins et
commence à jouer avec. Les triturant, les malaxant. Elle
me tord les pointes et je pousse un petit cri! David a
demandé à l'épouse du commandant de s'agenouiller et
elle s'active sur son pantalon pour lui sortir sa queue.
Je subi les attouchements de cette jeune fille qui me
semble aussi perverse que David. Elle me caresse
partout sur le corps et je commence à être troubler.Sa
main s'aventure dans ma chatte, elle y introduit deux
doigts et les fait coulisser.
- Quelle cochonne! Elle est déjà trempée.
J'ai l'impression de suffoquer, j'ouvre la bouche et je
pousse une légère plainte. Les doigts me branlent sans
s'arrêter, me pince mon clitoris, je donne des coups de
reins involontaires. J'entends comme dans un brouillard,
les bruits de sucions produit par la bouche de Béatrice
qui pompe la bite de David avec application. La jeune
fille, qui s'appelle Audrey, baisse le pantalon de son
uniforme et son string, me dévoilant une chatte rasée et
bien lisse. Elle m'empoigne les cheveux et approche
mon visage de sa vulve.
- Suce salope!
Subjuguée par l'autorité de cette jeune fille, j'obéis. Je
sors ma langue et commence à lui lécher la vulve.Elle
m'appuie fermement sur la nuque me contraignant à la
lécher. Pendant ce temps, David décharge dans la
bouche de la femme du commandant en lui ordonnant de
tout avaler.
Audrey ne tarde pas à jouir me barbouillant le visage de
sa mouille. David me relève et m'explique qu'Audrey va
rester pour surveiller les enfants. Nous sortons et nous
dirigeons vers la cantine ou mange tous les soldats.
Il est un peu plus de 21 heures, il n'y a donc plus
personne qui mange à cette heure la. Nous retrouvons le
cuistot et quelques soldats tous assez jeunes. J'ignore
le nom de la plupart. Tous juste ai je remarqué qu'ils
dévisagent parfois les femmes des officiers avec envie.
David nous ordonne d'enlever nos manteaux et nous
apparaissons dans nos tenues de putes. J'entends des
cris étouffées et des protestations et je suis surprise de
voir débarquées encadrées par deux autres trouffions,
Marie-Dominique, la femme de l'adjudant-chef chargé de
la formation des jeunes soldats et qui leur en fait baver
régulièrement ainsi que Valérie, une jolie blonde, mère
de 3 enfants, épouse d'un autre officier. Elles sont
vêtues elle aussi de manières très provocantes.
Minijupes, bas, talons aiguilles et seins nues. Alors
qu'habituellement, je ne les voies habillées que très
sagement d'un pantalon et des chaussures plates!
Quelle métamorphose! Automatiquement, on nous
positionne à quatre pattes sur le carrelage froid de la
cantine devant les hommes.
David m'explique que toutes ces femmes ont quelques
choses à se reprocher. Quand leur maris s'absentent et
risquent leurs vies dans des pays en guerre, elles
aguichent les jeunes recrues. David avec la complicité
des autres leur a tendu un piège dans lequel elles sont
toutes tombées. Succombant à l'appel des sirènes, ou
plutôt de la luxure, elles ont trompés leurs maris.
Prisent en photo ou filmés, elles n'ont plus d'autres
choix que d'obéir. Nous nous regardons toutes,
effondrées.Les soldats ont tous sortis leurs queues et se
masturbe. C'est terrifiant de penser que dorenavant
quand je croiserai dans la caserne un de ces jeunes
soldats, je devrait baisser le regard. David sort une
camera et commence à filmer. Les 5 soldats s'approchent
et nous tirant par les cheveux, nous contraignent à
avaler leurs bites. J'entends des gémissements étouffés,
des petits cris de protestations.La bite que je suce est
énorme et j'ai l'impression d'étouffer. Je m'applique, le
pompant, lui suçant le gland.
Pendant que je suce cet homme, les soldats ont inventé
un jeu extrêmement pervers. Pour se venger de
l'adjudant-chef qui leur fait subir des exercices
contraignant toute la journée. On décide de faire de
même avec sa femme. Marie-Dominique, à plat ventre,
doit ramper sur le sol sous les quolibets des soldats.
Puis on lui ordonne de faire des pompes et de courir
dans le réfectoire Avec des talons aiguilles ce n'est
vraiment pas évident, et elle manque tomber plusieurs
fois. Pendant ce temps, Béatrice, emmanchée jusqu'à la
garde par un des soldats se fait ramoner à grand coups
de reins. Valérie, elle, se fait enculer, la bouche ouverte,
de la bave coulant sur son menton, le visage ravagée,
elle subie les assauts de son enculeur qui la menace de
la faire défoncer par son doberman la prochaine fois.
Celui que je suce m'éjacule dans la bouche et je suis
contrainte d'avaler son foutre. Aussitôt un autre le
remplace et un second me pénètre par derrière me
déchirant l'anus. Je pousse un hurlement étouffé par la
bite que je suce.
Marie-Dominique, empalé sur une bite dressée et
enculée par une autre se fait défoncer pendant qu'elle
suce un autre soldat qui lui a enfoncé sa bite dans sa
bouche. Elle pousse des gémissements.
Ça dura des heures, nous fumes toutes les trois
humiliées et contraintes a toutes les dépravations de la
part des ces soldats. Enculées, baisées, soumises a
toutes leurs volontées. Et le tout filmé par David que je
dus sucer a la fin de la séance mais qui nous arrosa
toutes les quatre de sa semence. Nous fumes
reconduites dans nos appartements respectifs, couvert
de spermes, les bas déchirés. Marie-Dominique titubante
car un de ses talons c'est cassée lors de la 2eme séance
d'exercice ou elle du encore courir dans le réfectoire.
David nous a menacées de diffuser les films et les
photos dans toute la caserne si nous en parlions à nos
maris.
Régulièrement, je suis emmené dans la cantine ou je
retrouve Marie-Dominique, Valérie et la femme du
commandant, Béatrice. Aucunes d'entre nous n'en a
parlé a son mari et ils ne se doutent de rien. Une
nouvelle famille est arrivée dernièrement, la femme de
l'officier, une aristocrate, mère de trois enfants,
catholique pratiquante, excite beaucoup David. Il m'a
demandé de l'aider à la piéger.
Commentaires
-
- 1. SOLDAT Le 22/06/2023
Pendant le service militaire, j'étais un soldat, et cette histoire très bien écrite et très excitante me rappelle la rumeur
qui courait sur un gradé...
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