Histoires érotiques
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Les infortunes de l'infirmière 3
- Le 08/09/2019
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Chapitre 3:
Cynthia se fait gouiner pour la première fois.
Elle gisait sur la table d'examen, jambes grandes ouvertes, chevilles rivées aux étriers.
Son cul était su pendu quelques centimètres au dessus du matelas, tout son poids reposait sur ses épaules et son dos.
Elle commençait à avoir des crampes dans ses bras liés au dessus de sa tête.
Elle sentait le foutre qui avait séché sur son visage et sur ses cuisses au sortir de sa chatte.
Elle avait cessé d'appeler inutilement à l'aide. Cela faisait maintenant deux heures que ces deux derniers visiteurs l'avaient quittée. Elle s'était débattue pour se libérer de ses liens, mais en vain.
Elle s'était retenue longtemps mais elle n'en pouvait plus, elle entendait sa pisse tomber au sol elle savait déjà à quel point elle se sentirait humi-liée lorsqu'on la découvrirait. Elle entendit au loin le son d'un aspirateur, Cynthia réalisa que le groupe chargé du nettoyage du bâtiment était arrivé en avance.
Elle savait que normalement ils n'entraient pas dans le bureau du doc-teur, mais elle comprit au son que la porte du bureau devait être grande ouverte.
Ils viendraient sûrement nettoyer les moquettes et vider les poubelles s'ils voyaient la porte grande ouverte.
Cynthia voulait crier, mais elle pensa au dernier instant que sa voix serait couverte par le bruit des shampouineuses, aussi attendit-elle que l'équipe de nettoyage s'approche du cabinet.
Brandi parcourait le couloir vidant les poubelles alors que sa partenaire briquait les sols. Ce n'était pas le boulot habituel de cette jeune femme de 22 ans.
Brandi était venue aider sa mère qui dirigeait l'équipe de nettoyage.
Avec ses cheveux courts et son corps ferme et bien formé elle n'avait vraiment le physique d'une concierge.
Mais elle était venue aider son amie Martina pour qu'elle finisse plus tôt son boulot, elle serait ensuite libre d'aller flâner de concert.
Martina était une jeune femme de 26 ans d'origine hispanique. Elle por-tait ses courts cheveux bruns tirés en arrière.
Elle avait un corps magnifique, une petite poitrine et portait habituelle-ment des jeans bien larges et des chemisiers de flanelle.
La mère de Brandi savait que Martina était lesbienne mais elle ignorait que sa fille et sa collègue s'aimaient tendrement.
Brandi vit que la de porte du cabinet du docteur James était ouverte en grand, cela lui parut très surprenant qu'il y ait quelqu'un dans le bureau en ce jour de congé.
Elle jeta un coup d'œil dans le bureau et ne vit personne. Légèrement embarrassé elle s'y reprit à deux fois avant d'entrer dans le cabinet.
Elle laissa la shampouineuse dans le couloir pour couvrir le bruit de ses pas au cas où il se trouverait quelqu'un dans le bureau.
Elle entra et jeta un oeil dans bureau d'accueil et vit le sac d'une infir-mière grand ouvert posé sur le bureau.
Brandi craignait qu'il ne s'agisse d'un cambriolage et s'apprêtait à sortir lorsqu'il lui sembla entendre du bruit provenant d'une pièce au fond du vestibule.
Ignorant sa première impression qui la poussait à se sauver elle se glis-sa silencieusement vers cette pièce.
Jetant un oeil dans la petite salle, Brandi n'en crut pas ses yeux. Une infirmière était ligotée sur la table d'examen les chevilles rivées aux étriers, sa chatte était tournée vers la porte.
Réalisant que l'infirmière n'avait pas pu la voir, elle retourna dans le hall d'accueil et sortit du cabinet du docteur James, elle saisit la shampoui-neuse et se rua à la rencontre de Martina.
Remorquant Martina elle revint au cabinet du docteur James, Martina jeta à son tour un oeil dans la petite salle d'examen et vint rejoindre Brandi à la porte du bureau.
- "C'est cette salope d'infirmière qui m'a incendiée un jour où j'avais garé ma voiture trop près de la sienne!....." l'informa Martina rê-veuse.
- "C'est une foutue snob!..... Elle pense qu'elle vaut beaucoup mieux que n'importe qui dans ce bureau!...... Je me demande bien comment elle a pu se foutre dans une telle situation!....." réfléchis-sait Brandi à voix haute.
- "Qu'est ce que ça peut nous foutre?....... Pour ce que ça nous rapporte!...." rétorqua Martina amèrement.
Elles étaient sur le point de quitter les lieux lorsque Martina afficha un large sourire.
- "Ce serait honteux de laisser une si jolie petite chatte se morfondre toute seule!....."
- "Que veux-tu dire?....." répliqua Brandi légèrement inquiète.
- "Pourquoi ne retournerions pas dans la salle d'examen pour nous amuser avec la chatoune de cette petite salope?......"
- "Penses-tu qu'on le puisse .... Ne risquons nous pas de graves en-nuis?......."
- "A voir sa posture elle serait la première à avoir des ennuis si quel-qu'un la trouvait ainsi, comment justifierait-elle de sa position?......"
- "Par l'enfer il va bien falloir qu'elle nous raconte comment elle s'est fourrée dans une telle situation!...." Cynthia entendit quelqu'un marcher dans le couloir.
Tout d'abord elle eut peur que ce soit l'un de ses agresseurs qui soit ve-nu.
Lorsqu'elle vit Martina et la jeune brunette entrer dans la salle elle se senti à la fois soulagée et honteuse.Elle supposait depuis un bon moment que Martina était une gouine et elle sentait les yeux de la femme de ménage explorer sa foufoune entièrement livrée à sa convoitise.
- "Dieu soit loué ...... S'il vous plait détachez moi." les pria Cynthia.
- "Nous ne te détacherons après s'être un peu amusé avec toi!....." lui rétorqua Martina hilare.
- "Que ... Quoi?......" balbutia Cynthia effondrée.
Puis elle sentit Martina sonder du doigt sa chatte engorgée.
- "Arrêtez saleté de gouine!....." hurla Cynthia au premier doigt four-ré dans sa cramouille.
Brandi fit le tour de la table d'examen et se posta de l'autre coté, elle en-treprit de lui peloter les nibards avant de se pencher pour les mordiller et les sucer.
- "Oh mon Dieu Nonnnn ....... Ne me faite pas ça!......" larmoyait Cynthia éperdue de honte.
- "Mais tu n'es qu'une petite salope!..... " cracha Martina "C'est bien toi qui as pissé sur le sol n'est-ce pas!..... On va être obligée de te nettoyer la chatte avant tout autre chose!....."
Martina sortit de la salle d'examen et revint quelques minutes plus tard une carafe munie d'un pulvérisateur en main, elle pulvérisa son contenu sur la foufoune de Cynthia en riant.
L'infirmière entravée frémit au contact de l'eau fraîche sur ses appâts in-times.
Mais ce n'était rien en comparaison des sensations qu'elle endura lors-que la femme de ménage enfouit son visage entre ses cuisses et entre-prit de lui brouter le gazon.
Cynthia hurlait son désespoir alors que, pour la première fois de sa vie une femme lui léchait la chatte.
Pire encore, pendant ce temps, l'autre fille lui mâchouillait les tétons.
Cette expérience la révulsait. Au moins au cours des viols précédent c'était des hommes qui l'avaient possédée!......
Et voila qu'elle se faisait a violenter par deux femmes!......Et le pire, c'est que petit à petit son corps répondait à leurs assauts!.....
Sous la langue de Cynthia elle sentait monter un nouvel orgasme rava-geur.
Et, juste au moment où elle allait jouir, la femme arrêta ses caresses et dit à sa comparse d'en faire autant.
Martina quitta à nouveau la salle et revint une paire de minutes plus tard avec quelque chose en main.
Mais Cynthia ne parvenait pas à voir ce dont il s'agissait.
Elle tendit l'engin à Brandi et lui intima :
- "Quand je te dirai de l'utiliser tu sais quoi faire!....." puis elle revint mâchouiller la cramouille de Cynthia éperdue.
Alors qu'un nouvel orgasme risquait de la terrasser, Cynthia luttait de toutes ses forces pour le repousser se refusant à jouir des caresses d'un autre femme.
Mais elle savait bien que c'était une cause perdue d'avance.
Son corps se réjouissait trop de ses caresses intempestives pour qu'elle puisse résister bien longtemps.
Elle se mit à gémir traduisant les inavouables délices que lui procurait la langue habile.
Quelques secondes avant qu'elle n'exulte, Martina recula sa tête et cria :
- "Maintenant!...." Cynthia hurla de douleur alors qu'une pince serrée se refermait sur son téton droit.
Elle jeta un oeil vers le bas et vit une que Brandi avait refermé une puis-sante pince à papier sur son mamelon qui virait au pourpre.
- "Je vous en prie enlevez moi ça!....." les supplia-t-elle d'une voix chevrotante.
Puis Martina se remit à la lécher. La douleur émanant de son nibard se heurtait au plaisir irradiant sa fou-foune.
Puis petit à petit son téton s'engourdit alors que le plaisir grandissait dans sa foufounette.
Soudain elle arrêta de nouveau, Cynthia hurla à nouveau alors que Brandi refermait une autre pince sur son téton gauche.
Cynthia se débattait de toute son énergie dans les liens qui l'entravaient.
Elle lutta encore plus farouchement lorsque Martina se releva et saisit les deux pinces, étirant ses mamelons torturés.
- "Je vous en prie arrêtez ..... pleurnichait Cynthia affolée par la dou-leur.
Mais Martina se remit à lui brouter le gazon.
Son téton gauche s'engourdissait à son tour, alors qu'une fois encore sa chatoune s'affolait sous les caresse labiales de l'habile gouine.
Elle tendit le ventre en avant réclamant de nouvelles caresses, elle hale-tait alors que son excitation grandissait, cela lui importait peu maintenant que ce soit les mains ou même les lèvres d'une femme qui la travail-laient, elle ne se souciait plus que son envie de jouir.
Mais son envie de jouir se mut en de terribles cris de douleur alors que quelque chose d'infernal lui mordait atrocement son clito dardé, elle hurla réalisant qu'une troisième pince se refermait sans pitié sur son petit hari-cot.
Elle avait pensé que la douleur émanant de ses tétons était terrible mais ce n'était rien comparé à cette effroyable torture lancinante.
- "Feras-tu tout ce qu'on te demandera si j'enlève ces pinces?....." Lui demanda suavement Martina.
- "Ou .....Oui ....." balbutia Cynthia folle de douleur.
- "Alors bouffe la chatte de mon amie!..." lui ordonna une Martina impitoyable.
Brandi avait déjà enlevé ses habits et grimpait sur la table d'examen se postant au dessus du visage de Cynthia.
Cynthia jeta un œil affolé sur la chatte rasée à quelques centimètres de son visage.
- "Je ..... Je n'ai jamais ...."
Sa protestation mourut dans un cri déchirant alors que Martina empoi-gnait la pince martyrisant son clito pour l'étirer sauvagement.
Vaincue elle tendit la tête pour enfouir son visage dans l'entrecuisse de son assaillante et entreprit de lui lécher la fente.
Brandi chaloupa des hanches se plaçant en bonne position pour que l'in-fortunée nurse puisse lui bouffer correctement la chatte.
Elle était déjà trempée, elle se mit tout de suite en action.
Cynthia cherchait à faire abstraction de la douleur émanant de soin en-trecuisse alors qu'elle broutait servilement la fentine de cette sale gouine.
De toute sa vie, elle n'avait jamais été tentée d'avoir des rapports sexuels avec une autre femme.
Et voilà qu'en cet instant elle mâchouillait la chatoune d'une inconnue, faisant de son mieux pour combler ces deux tourmenteuses.
Alors qu'elle suçait sa partenaire elle sentit qu'on lui sondait la cra-mouille, elle pensa tout d'abord qu'il s'agissait des doigts de Martina, mais elle réalisa très vite que c'était quelque chose de bien plus gros.
Elle se demandait bien ce que cette salope cherchait à introduire dans sa moule.
Sa cramouille était de plus en plus distendue à la limite de la rupture, elle voulut crier mais ses plaintes de perdaient dans la chatoune qu'elle brou-tait consciencieusement.
Brandi se tortillait sous les caresses enivrantes de la bouche inexpéri-mentée, elle gémissait d'extase emportée par un orgasme fulgurant.
Cynthia savait que la jeune femme jouissait sous les caresses de sa lan-gue, elle sentait sa cyprine lui couler sur les joues alors qu'elle continuait à la lécher servilement. Finalement ayant joui par tous les pores de sa peau, Brandi se releva et la désenfourcha descendant de la table d'examen.
Cynthia jeta un oeil vers le bas entre ses jambes, elle vit alors que Marti-na lui enfonçait de force une grosse bouteille en plastique dans la fou-foune.
Elle faisait bien 30 cm de long et 20 cm de diamètre, elle était déjà par-venue à l'emboîter de moitié dans sa chatte horriblement distendue.
- "Tu aimes?....." lui demanda Martina se marrant comme une brute.
- "Non ..... Bien sur que non ....... Enlevez moi ça!......" cracha Cyn-thia en retour.
- "Voilà tout ce que tes protestations te rapporteront!....." la railla Martina tirant de façon saccadée sur la pince provoquant une multitude d'élancements douloureux dans sa chatte et ses lombes.
- "Regarde moi ça ....." intervint alors Brandi lui présentant un go-demiché en plastique imitant parfaitement un pénis en pleine érec-tion.
Cynthia reconnut immédiatement le leurre, c'était l'un des modèles dont se servait monsieur James pour démontrer le fonctionnement d'une bite.
Elle avait souvent plaisanté avec ses collègues prétendant qu'elles aime-raient toute trouver un homme aussi bien monté que ça.
- "Amène le moi!...." intervint alors Martina.
Elle saisit le gode et commença à le frotter entre les jambes de Cynthia. La plus jeune s'était accroupie et écarta ses cuisses en grand, le leurre pouvait maintenant glisser dans toute sa fentine.
Lorsque Martina pensa qu'il était suffisamment lubrifié, elle le pointa tout contre l'étroit anus de Cynthia qui frémit de peur.
- "Oh non ..... Je vous en prie ..... Pas ça ..... Pas dans mon anus!......" hurla Cynthia paniquée.
Martina éclata de rire alors qu'elle poussait le gode en avant, l'introdui-sant lentement dans l'œillet ridelé de la belle odalisque.
- "Es tu prête maintenant?...." lui susurra-t-elle égrillarde à souhait.
Cynthia hocha la tête.
- "Ce n'est pas assez!...." dit-elle retirant un peu l'épais leurre de son trou du cul.
- " Supplie moi de te laisser brouter ma chatte!....."
Cynthia ne parvenait pas à croire ce à qu'on exigeait d'elle.
- "S'il vous plait ...... Donnez moi votre chatte à lécher!...."
Martina grimpa sur la table d'examen et enfourcha le visage de Cynthia.
Cette dernière pensa tout d'abord qu'elle risquait d'étouffer, mais trouva bien vite la bonne méthode pour respirer par le nez, elle se mit à brouter le second chaton qu'on proposait à sa convoitise.
Tandis qu'elle broutait le gazon de Martina, Brandi prit place entre ses cuisses et se mit à la pistonner avec la bouteille en plastique un doigt fourré dans son anus, ce qui ne faisait qu'ajouter à la confusion de la malheureuse infirmière saoulée de caresses.
- "Oh oui, bouffe moi la chatte petite salope!..... " s'écriait Martina pressant sa chatte contre le visage de Cynthia.
Elle savourait tous ces instants et était déterminée à se vider dans la bouche de la jeune infirmière.
- "Oh oui ......" cria-t-elle soudain submergée par un orgasme fulgu-rant alors que Cynthia continuait à lui brouter le gazon..
Cynthia sentait la chatte de Martina battre contre son visage elle savait pertinemment qu'elle succombait à un orgasme d'une rare intensité, elle continuait de la lécher la faisant rebondir d'orgasme en orgasme. Puis finalement Martina s'écroula.
Elle s'allongea de tout son long se débrouillant pour sue sa chatte reste contre les lèvres de Cynthia, coinçant la tête de la petite infirmière entre ses jambes pour l'empêcher de tourner la tête.
Elle regarda Cynthia droit dans les yeux avec un large sourire.
- "C'était merveilleux ma petite Cynthia, tu as bien gagné ton dessert!....."
Cynthia sentit un liquide chaud sentant fort lui inonder la bouche, elle voulut fermer la bouche mais il était bien trop tard, Martina lui pissait dans la bouche.
- "Avale ma chérie ...." lui intima Martina hilare.
Cynthia n'avait guère le choix en la matière, elle devait sopit avaler soit étouffer, aussi ingurgita-t-elle péniblement l'urine de Martina.
Une fois qu'elle se fut vidée la vessie Martina se releva.
- "Et maintenant on va te donner bien du plaisir!....."
Elle saisit les pinces ornant ses tétons et les retira vivement.
Cynthia pensait avoir souffert tout à l'heure, mais l'afflux de sang dans ses tétons engourdis lui octroya une douleur bien plus intense que les pinces elles mêmes.
Puis les deux jeunes femme lui sucèrent tendrement ses mamelons meurtris.
Martina se dirigea alors vers son entrecuisses, elle commença par lui enlever la bouteille de plastique enfouie dans sa chatte, puis desserra la pince refermée sur son clito, Cynthia hurla à nouveau de douleur.
Sa peine diminua rapidement sous les caresse de la langue de Martina qui fourrageait dans sa foufoune. Cynthia roulait des yeux en sentant son corps répondre à ces assauts lubriques.
Brandi lui suçait toujours les tétins alors que Martina s'occupait de sa féminité exacerbée.
Cynthia haletait de plus en plus fort, sa jouissance était intense.
- "Oh mon Dieu ..... Oh oui ..... Faites que je jouisse ..... Je vous en prie je veux jouir!......." hurlait-elle en plein délire.
Sa prière se réalisai soudainement, sa chatte explosa en extase alors qu'un dernier orgasme la faisait trembler de la tête aux pieds. Elle avait souvent joui cet après-midi, mais pas encore avec une telle in-tensité.
Elle secouait la tête en tous sens hurlant sa joie alors que la jeune femme la tête entre ses cuisses continuait imperturbablement ses caresses. -
Les infortunes de l'infirmière 2
- Le 31/08/2019
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LES INFORTUNES DE L'INFIRMIÈRE
PARTIE 2:
Cynthia suppliait encore son violeur de revenir la détacher de la table d'examen alors qu'Eric sortait du bâtiment.
Il n'avait aucun remords de laisser la ravissante infirmière ligotée sur le lit d'examen.
Il était ravi de l'avoir possédée par ses trois orifices, il jubilait à l'idée que loin de supporter passivement son viol, elle l'avait suppliée de la faire jouir!.....
Eric était tout de même surpris de voir à quel point cela avait été facile, il était aussi très heureux de savoir qu'il n'y avait que très peu de chances qu'elle porte plainte.
Comme il regagnait sa voiture, il croisa deux jeunes hommes assis dans la contre-allée, il vit l'un des deux siffler une promeneuse proférant, à voix haute, un commentaire graveleux sur ses charmes alors qu'elle passait devant lui.
Il eut alors une idée, il s'approcha des deux jeunes hommes et leur signala qu'il pensait qu'ils se régaleraient s'ils se rendaient tout de suite chez le docteur James au 4ème étage, une surprise les attendait dans la salle d'examen au fond du couloir.
Ils commencèrent par ignorer les dire de cet étranger, et le regardèrent regagner sa voiture et démarrer.
Ils avaient tous deux 18 ans révolus et profitaient de ce jour de congé, ils travaillaient à temps partiel dans une station essence et venaient de quit-ter leur boulot lorsqu'ils s'étaient assis contemplant la somptueuse jeune femme qu'ils venaient de croiser.
Sid, le plus grand des deux avait des cheveux blonds ébouriffés alors que son ami Ken avait les cheveux bruns coupés courts, c'était lui le plus séduisant des deux.
Après quelques minutes Ken suggéra qu'ils montent jusque chez ce docteur pour voir ce dont voulait parler cet étranger énigmatique.
Ils pénétrèrent dans le bâtiment par la porte qu'Eric avait laissée grande ouverte, c'était la seule à ne pas être verrouillée.
Ils réalisèrent rapidement que l'immeuble était vide au lendemain du jour de fête. Ils se rendirent au 4ème et cherchèrent le bureau du docteur James, la porte était grande ouverte, ils entrèrent faisant attention de ne pas faire de bruits. Ils ne virent personne et commencèrent à explorer les lieux. L'un deux entendit soudain du bruit et une voix de femme qui quéman-dait :
- "Hello est-ce vous?..... Je vous en prie revenez ...... S'il vous plait, délivrez moi!......"
Ils échangèrent un regard surpris. - "Détachez moi?...." susurra Ken l'air étonné.
- "Nous devrions voir de quoi il retourne ....." proposa alors Sid intri-gué.
Silencieusement les deux jeunes gens gagnèrent la salle d'ou sem-blaient provenir les bruits et la voix. Ils n'étaient pas du tout préparé à ce qu'ils trouvèrent, figés dans la porte d'entrée ils ouvraient des yeux comme des soucoupes à la vue de la ra-vissante infirmière ligotée à la table d'examen.
Jambes rivées aux étriers elle leur offrait un point de vue d'une rare pré-cision sur son intimité béante qui visiblement venait d'être visitée.
- "Bordel quel spectacle!...."
s'exclama Sid abasourdi.
Cynthia frissonna, elle avait espéré que c'était son agresseur qui pris de remords venait la libérer de ses entraves, elle ne s'attendait pas à voir surgir deux jeunes ados qu'elle ne connaissait ni d'Eve ni d'Adam.
- "S'il vous plait détachez moi ....." les supplia-t-elle misérablement. Ken et Sid s'approchèrent de la table d'examen.
- "Eh mec, elle semble drôlement chaude!....." commenta Sid s'adressant à son copain.
- "Oui, et elle vient de se faire baiser la salope!......" avança Ken le doigt pointé sur un e rigole de foutre s'écoulant de sa chatte.
- "Je crois qu'on s'est trouvé une bonne petite salope!....." s'esclaffa Sid hilare.
- "Non je vous en prie .... Laissez moi tranquille!..... Vous ne com-prenez pas ce que ......"
- "Ta gueule salope ...." la coupa Sid.
- "Je suppose à voir les bouquins pornos comme celui que tu as jeté par terre que ton petit copain et toi même vous jouez à des jeux sexy ....... A un simulacre de viol ou quelque chose comme ça!.......
Sinon pourquoi nous aurait-il conseillé de venir te rejoindre!......."
- "Ce n'est pas mon petit ami!....." insista Cynthia vainement. Elle était scandalisée, non seulement elle s'était fait violer mais voila que maintenant ses sauveurs pensaient qu'elle se livrait à des per-vers jeux sexuels avec son petit ami!......
- "Bon puisque tu veux te faire baiser on va s'occuper de toi ...." s'exclama Sid jubilant.
- "Non!....." hurla Cynthia
- "Vous ne comprenez rien ....."
Les deux jeunes hommes riaient de ses protestations, ils lui dirent qu'ils allaient lui donner une bonne leçon.
Sid se déshabilla rapidement.
Il était maigre, mais sa bite était à peu près aussi longue que celle d'Eric, et bien plus épaisse.
Il bandait déjà comme un turc.
Ken enleva ses caleçons ne gardant que son tee-shirt probablement pour cacher son petit ventre rondouillard.
Sa bite ne mesurait que 13 cm environ mais était bien plus épaisse que celles qu'elle avait vue à ce jour, elle correspondait à sa stature.Ils prirent place de chaque coté de la table et commencèrent à la ca-resse, explorant avec avidité son corps.
Cynthia pleurait, les suppliant d'arrêter.
Se faire violer une première fois lui semblait bien suffisant et voila que maintenant deux salopard se préparaient à la sauter à leur tour.
Plus elle pleurait et les suppliait, plus cela les excitait.
Ils pensaient tous deux que cela faisait partie d'un jeu sexuel élaboré.Ils décidèrent de commencer par sucer ses tétons de concert.
Sid prit son mamelon gauche raidi en bouche et se mit à le mâchouiller, Ken en fit de même avec son tétin droit, ils exploraient son corps de leurs mains libres qui plongèrent bientôt vers son entrecuisse livré à leurs manigances concupiscentes.
Chacun leur tour ils la doigtèrent et promenèrent leur doigts dans sa fen-tine inondée, tout en lui manipulant rudement son petit clito affolé.
Cynthia les suppliait d'arrêter.
Elle sentait son excitation monter contre son gré sous les suçotements de leurs bouches habiles et les caresses de son sexe enfiévré.
Elle ne savait combien de temps elle pourrait encore contrôler ses sens.
En fait son corps répondit rapidement à leurs caresses, ses protestations décrurent alors qu'augmentaient ses gémissements.Les deux ados étaient entrés en action, ils sentaient qu'ils allaient induire en elle un orgasme exceptionnel, Cynthia se balançait d'avant en arrière sur la table Elle sentait l'orgasme de plus en plus proche.
Elle avait déjà entendu parler de filles jouissant à force de caresses sur ses tétons mais n'avait jamais expérimenté elle même une telle situation. Et voila que cela lui arrivait, elle ne résista pas plus longtemps
- "Oui!....." hurla-t-elle alors qu'un nouvel orgasme la submergeait.
Sid ne pouvait plus attendre plus longtemps..
Sa bite était dure et bandée à bloc il sentait la pression montée dans son canal déférent.
Il se posta entre ses cuisses et enfouit sa grosse bite dans sa chatte sans perdre de temps.
L'infirmière commença à secouer sa tête, il l'enfilait juste au moment ou l'orgasme qui venait de la terrasser s'estompait, lui laissant quelques ins-tants de répit.
Elle remua les hanches dans l'espoir de fuir cette nouvelle bite qui s'en-fouissait dans sa chatoune.
Dans cette journée, Cynthia avait déjà joui plus qu'elle ne l'avait jamais rêvé, mais elle ne voulait plus se faire baiser, et encore moins par ces deux bâtards.
Sid crut qu'elle manifestait son excitation de se faire sauter à nouveau, il se mit à la labourer alors que Ken continuait à sucer et mâchouiller ses tétins.
Soudain Cynthia frémit alors qu'un nouvel orgasme déferlait en elle. Sid en avait mal aux burnes de se retenir le rythme de ses coups de boutoir augmentait.
Il cria à Ken de prendre sa place , et il grimpa sur la table pour fourrer sa bite dans la bouche de Cynthia.
Comme elle commençait à sucer sa bite Ken se posta à son tour dans son entrecuisse, Cynthia avala sa salive lorsqu'il pressa son énorme bite contre sa figue.
Alors que Ken avait été rapide Ken la baisait avec férocité, il s'enfonça aussi profondément qu'il le put dans son intimité, claquant ses hanches contre les siennes avec assez de force pour la faire reculer. Ses chevilles étaient toujours fixées aux étriers et c'est la seule raison qui l'empêcha de glisser en arrière. Sa chatte lui faisait très mal et cependant elle sentit un nouvel orgasme monter dans ses reins.
Elle se mit à sucer avidement la bite qu'elle avait en bouche, elle sentit que son gland grossissait encore, elle devina qu'elle ne tarderait plus à goûter à son sperme, déjà elle savourait les premières gouttes de pré sperme qui suintaient à son méat.
Les deux ados adoraient baiser la chatte de cette ravissante infirmière, ils n'étaient vierges ni l'un ni l'autre, mais ils n'avaient jamais vécu une telle expérience., et ils ne s'étaient jamais envoyés de jeune femme aus-si jolie que Cynthia.
Sid projeta les premières vagues de foutre dans la bouche de Cynthia, puis il extirpa sa bite d'entre ses lèvres et se branla langoureusement projetant jet après jet son épaisse crème sur son visage.
Au même instant Ken cria son plaisir, et la pilonna plus âprement tout en giclant dans sa chatte inondée.
Ils grognèrent et gémirent de concert submergés par un intense orgasme simultané.
Lorsque les deux jeunes gens en eurent fini, ils se redressèrent et se rhabillèrent lentement.
Cynthia gisait sur la table, son corps frissonnant encore d'avoir emma-gasiné tant de plaisir. Ses yeux la brûlèrent soudain, un filet de foutre projeté par Sid se glissait sous ses paupières.
Elle avait toujours pensé qu'il était révoltant de se faire éjaculer sur la tronche voila qu'elle se retrouvait le visage couvert de foutre sans espoir de pouvoir se nettoyer.
Voyant les deux jeunes hommes se rhabiller elle les pria de la libérer de ses liens.
- "Et pourquoi te détacherait-on?...... " lui demanda Sid.
- "Il me semble que le jeu ne fait que commencer!..... peut-être bien qu'on reviendra te voir avec quelques copains cet après-midi ....."
Cynthia gisait sans voix alors quel les deux jeunes disparaissaient de sa vue.
Elle se demandait ce que l'avenir lui réservait maintenant. -
Malade amoureuse
- Le 24/06/2019
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POÈME D'UN AMOUREUX DE L'INFIRMIÈRE
Une malade amoureuse.
À la poitrine généreuse.
Elle a des beaux seins et fermes.
Un bassin, bidon plein et homogène.
Quelle amoureuse femme !
Elle éclate des murmures sadiques.
Avec des grosses lèvres érotiques.
Un faciès excitant sardonique.
Ton régard demandant m'excite.
Tes murmures face à cette injection vaginale me frustre.
T'as des joues colorées et des lèvres bilobées.
Un regard plafoné,
on dirait tu es déshydratée.
Je ne régrète pas de t'avoir connu.
Je suis resté éblouit et confus.
J'éprouve des difficultés à retenir tes répères.
Je n'ai aucune décision infirmière dans ce couloir.
Quelle est cette sotte!
qui me danse au lit sans capotte. -
Les infortunes de l'infirmière 1
- Le 19/05/2019
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LES INFORTUNES DE L'INFIRMIERE 1
Cynthia en péril.
Par l'enfer, je me suis bien fait pièger!....." cracha Cynthia en cla-quant le téléphone sur son support.
On était au lendemain de "Thanksgiving" et le docteur James avait déci-dé, à la dernière minute de s'accorder un congé.
Il aurait pu le décider quelques semaines plus tôt, mais n'en avait rien fait, il n'y avait donc personne de programmé pour assurer la perma-nence.
C'est pour cette raison que Cynthia était au bureau le lendemain de "Thanksgiving", elle était la seule personne disponible du service. A peine avait-elle pris place à son bureau, qu'elle reçut un message du docteur James. Il l'informait qu'il ne viendrait pas, il n'avait que 6 patients de programmé, elle l'excuserait auprès d'eux.
Elle devait les appeler pour reporter leurs rendez-vous. Pour l'instant elle avait réussi à en annuler 5, mais elle ne parvenait pas à joindre le sixième patient. Il semblerait que la secrétaire avait écrit un numéro de téléphone erroné sur sa fiche, celui indiqué n'était pas en service. Il s'agissait d'un nouveau malade qui venait consulter pour la première fois. Sa fiche indiquait qu'il s'appelait Eric Johnson, il avait pris son rendez-vous le mercredi matin alors qu'il se sentait mal. Il avait rendez-vous à 13 heures, Cynthia supposait donc qu'elle devrait attendre sa venue pour lui fixer un nouveau rendez-vous avant de quitter son bureau. - "Encore une journée de foutue!...." pensait-elle en son fort inté-rieur. Cynthia avait 21 ans et travaillait pour le docteur James depuis six mois. C'était son premier boulot en tant qu'infirmière. Bien sûr elle n'était pas diplômée, mais en cours de formation. Le docteur James l'avait engagée pour lui, permettre de suivre une for-mation en cours d'emploi. Du fait de son boulot et de ses cours, sa vie sociale était réduite à sa plus simple expression. Elle vivait seule et aurait aimé profiter de l'opportunité de "Thanksgiving" pour rendre visite à ses parents, elle avait du y renoncer à cause de cet enculé de docteur James. Cynthia était une ravissante jeune femme, assez grande elle avait de superbes cheveux blonds, un visage avenant, des yeux bleus clairs et des lèvres purpurines. Son seul regret était d'avoir qu'une petite poitrine au vu de celles de ses collègues. Elle disposait de beaucoup de temps avant l'arrivée de ce monsieur Johnson qui avait rendez-vous à 13 heures, aussi cherchait-elle des choses à faire. Elle était le seul bureau ouvert dans tout le bâtiment, devoir laisser la porte au rez-de-chaussée ouverte l'ennuyait considérablement, elle se sentait vulnérable. Elle gagna une pièce adjacente où elle trouva une pile de magazines pornographiques. Le docteur James avait en charge des couples qui dans lesquels le mari souffrait d'impuissance. Il avait donc besoin, dans son boulot de stimulants visuels qui amenaient les patients à se branler dans ce petit cabinet de toilette pour fournir un échantillon de leur sperme. Cynthia avait souvent recueilli les fioles contenant les éjaculations de pa-tients qui s'étaient masturbé dans cette petite pièce, cela ne l'a dérangé même plus. En fait voir leur visage afficher une grimace penaude la faisait bien rigo-ler, tout comme ses collègues. Cynthia se mit à feuilleter les magazines, se demandant combien d'hom-mes avaient éjaculé en visionnant ces images. Elle se polarisa sur des images de couple en train de forniquer, aucun doute c'était les images le plus pornographiques qu'elle ait jamais vu. Cynthia était captivée par l'h=un des hommes figurant sur ces photos il était doté d'une bite largement au dessus de la moyenne, bien plus grosse que les six chibres qu'elle avait essayé à ce jour. Elle sentait sa chatte s'humidifier à la vue de ces images obscènes. Elle jeta un oeil sur l'horloge, midi était passé depuis quelques minutes, elle disposait d'une bonne demie heure avant que monsieur Johnson n'arrive, elle se dirigea d'un pas rageur dans une des salles d'examen, s'assit sur la table d'auscultation et se mit à lire la courte histoire qui accompagnait les images. Quelques secondes plus tard pantalon et petite culotte enlevés, elle était étendue à plat dos sur la table d'examen. A la vue des étriers elle réalisa qu'elle était étendue sur un lit d'examen gynécologique. Cela faisait presque 1 an qu'elle n'avait plus eu de bonne grosse bite dans la petite chatte frustrée. Très excitée elle mit ses pieds dans les étriers et se mit à se doigter âprement tout en reprenant la lecture de la courte histoire. Elle s'imaginait ce que monsieur James pourrait bien penser s'il entrait dans la salle d'examen et la trouvait se branlant sur une table d'examen, peut-être bien qu'il ôterait son pantalon et lui sauterait dessus pour la baiser avec vigueur. Alors que Cynthia développait son fantasme, elle n'entendit la porte d'en-trée s'ouvrir. Eric Johnson était arrivé plus tôt que prévu. Cet homme de 38 ans était grand, il avait les cheveux bruns et une cor-pulence moyenne. Il se dirigea vers le bureau d'accueil et ne vit personne, il allait appeler lorsqu'il entendit des gémissements sourds provenant d'une pièce dans son dos. Son premier réflexe fut de se ruer dans la pièce pensant qu'il s'agissait de gémissements d'une femme blessée, mais il réfléchit et décida de vé-rifier ce qu'il en était auparavant. Avec moult précautions il se dirigea vers la chambre d'ou semblaient provenir les miaulements. La porte de la sale était entrebâillée, il se posta silencieusement devant la fente et vit un spectacle qui le ravit. Une infirmière était allongée sur le lit cuisses grandes écartées, elle se masturbait allégrement, elle était si captivée par le magazine qu'elle lisait qu'elle n'avait même pas senti qu'on la regardait. Eric n'en croyait pas sa bonne fortune, il sentit sa bite se mettre au garde à vous dans son caleçon alors qu'il matait la jeune femme qui se gama-huchait. Il sut d'instinct qu'il pouvait facilement se la sauter. et avant de changer d'idée il se mit en action. - "Il pénétra dans la pièce - "Eh bien, c'est du joli!....." Cynthia sursauta violemment, elle voulut se cacher mais se retrouvait cuisses largement écartées sous les yeux d'un étranger qui la reluquait avec avidité. Humiliée elle réalisait que cet accident pouvait bien lui coûter son boulot si cela revenait aux oreilles du docteur James. Elle retira ses pieds des étriers, s'excusant confuse, mais à sa grande surprise, l'inconnu se rua sur elle et la repoussa en position initiale. - "Je préfère te voir ainsi offerte!....." rugit il alors qu'elle commençait à protester. Comme elle se débattait, Eric attrapa quelques sangles qui servaient à immobiliser les patients qu'on examinait. Il saisit les sangles et en s'en servit pour lier les poignets de Cynthia en-sembles. Elle se mit à hurler - "A l'aide ... Au secours!....." mais Eric savait pertinemment qu'il n'y avait qu'eux deux dans le bâtiment, il n'avait rien à craindre, elle n'ameuterait personne. Ses poignets lié ensembles, il les tira en arrière au dessus de sa tête et les ancra sur l'armature du lit. Cynthia avait roulé sur la table au cours de ces manœuvres, il dut l'im-mobiliser de force pour amarrer sa cheville dans l'étrier droit, puis il fit de même avec sa cheville gauche. Cynthia était maintenant attachée sur la table d'examens, cuisses gran-des ouvertes, offerte à sa convoitise. Comme elle protestait, il attrapa sa petite culotte qui gisait au sol, la rou-la en boule et la lui fourra dans la bouche, puis il la fixa avec une bande de sparadrap pour la bâillonner. Satisfait de ses manœuvres, Eric recula d'un pas pour contempler sa proie sans défense. Cynthia se sentait totalement livrer à sa concupiscence, sa posture of-frait à sa vue l'intégralité de ses appâts génitaux. Pire encore il était évident qu'elle était trempée de cyprine à la suite de son doigtage frénétique. Eric jeta un oeil sur son badge. - "Très bien Cynthia, il semblerait bien que tu te comportais comme une sale gamine!..... C'est vraiment mon jour de chance!....." Déjà sa main courait sur sa poitrine, il déboutonna sa blouse exposant le soutien-gorge de dentelle qui couvrait ses nibards. Ayant trouvé un scalpel, il l'utilisa pour couper les bretelles du soutien-gorge et le lui enleva prestement. Ses tétons dardèrent immédiatement sous la concordance de l'excitation et de la fraîcheur de la pièce. Eric commença à les triturer entre pouce et index, puis se pencha pour les mâchouiller, ils se dressèrent encore plus sous ses caresses habiles. Des fourmillements électriques naissaient dans ses mamelons se diffu-sant dans tout son corps, elle comprit alors qu'en dépit de sa peur son corps tout entier était follement excité à la suite de son âpre masturba-tion. Lorsque ses mains glissèrent sur son ventre coururent dans sa toison dorée pour atteindre sa foufoune détrempée elle sentit avec une extrême confusion son corps réagir à ses attouchements salaces. Elle ne voulait pas que cet homme la touche, mais ses doigts lui faisaient tant de bien, il glissa un doigt dans sa chatte et la trouva inondée de ses secrétions intimes, il entreprit alors de lui masser le clito du pouce, Cyn-thia criait dans son bâillon, mais surtout dans une vaine tentative pour cacher son émoi grandissant. Eric se recula et fit le tour du lit contemplant avec avidité ses charmes livrés à sa discrétion, puis il se posta entre ses cuises se régalant à la vue de ses babines gonflées, il se pencha sur son entrecuisse et entre-prit de lui brouter le gazon, il plongeait sa langue dans ses muqueuses parcourant ses babines avant de mordiller son clito et de reprendre le même chemin. Cynthia défaillait, choquée de réaliser qu'elle s'arquait sur les talons, pour lui offrir un meilleur accès à sa féminité embrasée. Son corps réclamait désespérément sa jouissance, eu lui importait à cet instant d'être violée. Eric introduisit un doigt fureteur dans son fourreau détrempé, puis un se-cond, un troisième ..... Il la gamahuchait furieusement trois doigts dans la chatte tandis qu'il mâchouillait délicieusement son clito. La tête de Cynthia roulait de droite à gauche alors qu'un orgasme dévas-tateur montait de ses reins. A l'instant même ou la vague de plaisir allait déferler, Eric extirpa ses doigts de sa chatte ruisselante et cessa toutes manœuvres lubriques. Cynthia tendait les cuises, s'arc-boutant sur les talons pour l'engager à poursuivre, elle était trop prêt de jouir pour s'arrêter en si bon chemin, elle le supplia au travers de son bâillon de continuer ses caresses en-voûtantes, mais Eric se contentait de la couver du regard. - "Veux-tu que je continue ma petite Cynthia?...." lui demanda-t-il d'une voix rauque. Elle ne savait pas quoi faire, quoi dire, d'un coté elle voulait que tout cela s'arrête, qu'il la libère et qu'il parte, mais d'un autre coté son corps ré-clamait l'assouvissement de ses appétits lubriques. Elle le regardait se dévêtir, lorsqu'il enleva pantalon et caleçon sa grosse bite une bonne vingtaine de centimètre focalisa ses regards. Elle ne voulait pas se faire baiser, tout au moins en était-elle convaincue, mais à cet instant elle savait que sa chatte accueillerait volontiers son épaisse bite dans sa cramouille toute moite. De la main gauche Eric se mit à lui caresser ses nibards, empaumant le nichon, triturant le mamelon. Des myriades d'étincelles couraient le long de sa colonne vertébrale, se diffusant dans tout son corps. De l'autre main il lui libéra la bouche ôtant la petite culotte qui lui servait de bâillon.
- "Veux-tu que je continue Cynthia?...." l'interrogea-t-il suavement.
Elle secouait négativement la tête, mais ses yeux la trahissaient. Elle avait peur d'ouvrir la bouche quelque fois qu'en surgisse la vérité.
- "Je veux bien continuer, mais uniquement si tu aimes ça!...." ajou-ta-t-il.
Il pressa un bouton de commande et la tête de la table s'abaissa jusqu'à ce que son visage soit à hauteur de sa taille.
Il se posta face à ses lèvres lui intimant :
- "Et maintenant suce moi!......."
Cynthia refusa.
Du coup Eric se pencha en avant et serra durement son petit clito dardé entre ses doigts.
Cynthia rugit de douleur. - "J'e t'ai demandé de me suce!...."
répéta-t-il imperturbablement.
Elle ouvrit lentement les mâchoires et l'emboucha.
Il enfourna sa bite dans sa bouche jusqu'à ce que ses couilles velues re-posent contre son menton.
Elle se mit à sucer docilement la bite qui s'engouffrait jusque dans sa gorge, il se mit à coulisser lentement entre ses babines gonflées, tout en continuant à lui malaxer âprement les miches.
Cynthia sentait son gland franchir ses amygdales, sa luette et s'aventu-rer dans sa gorge à chaque coup de boutoir.
Elle avait appris à faire des gorges profondes alors qu'elle était encore au lycée, mais jamais elle n'avait eu de bite excédant 12 à 15 cm en bouche.
Eric savourait le plaisir de fourrer sa bite dans la bouche de la jeune in-firmière dévouée.
Il augmenta le rythme de ses allées et venues se montrant un peu plus brutal.
A chaque coup de boutoir, ses couilles heurtaient son joli petit nez, elle sentit soudain que sa bite enflait encore, elle sut dès ce moment qu'il ne tarderait plus à se vider les couilles au fin fond de sa gorge.
Eric gémit et augmenta encore le rythme de ses coups de boutoir, puis, dans la foulée il vomit des torrents de foutre dans sa gorge.
Elle sentait son épaisse crème virile lui inonder la bouche, elle avait le choix entre avaler son foutre ou étouffer, elle s'empressa de déglutir alors qu'il continuait à projeter se semence dans sa gorge.
Puis il se retira lui envoyant les derniers maigres jets sur le visage.
- "C'était drôlement bon!...." la félicita-t-il remettant la table dans sa position initiale.
Cynthia se sentait légèrement dégoûtée. Elle avait toujours le goût de son foutre en bouche, sa chatte fourmillait toujours autant, son envie de se faire sauter ne faisait qu'augmenter, elle espérait qu'il allait mainte-nant s'occuper de sa chatoune et qu'il la ferait défaillir de plaisir sous ses assauts.
Les mains d'Eric couraient sur tout son corps, il palpait ses aréoles, tes-tait la fermeté de son ventre, s'aventurait dans sa toison dorée pour dénicher sa fentine inondée de cyprine, mais il contournait toujours son petit clito affolé.
Cynthia était folle du désir de se faire baiser et il continuait à embraser ses sens.
Enfin il se pencha sur elle et donna une chiquenaude sur son petit hari-cot dardé déclenchant l'inondation de sa cramouille.
Il se posta entre ses cuisses, elle put voir que sa bite avait repris de la vigueur. Elle avait grand mal à s'empêcher de le supplier de la sauter, de plonger sa grosse bite dans sa petite foufoune enfiévrée.
Lorsqu'il s'approcha elle laissa retomber sa tête en arrière guettant l'ins-tant où il s'enfoncerait en elle. Il frotta son gland entre ses babines, lentement puis se retira Cynthia tentait en vain de le retenir entre ses cuisses
- "Tu veux que je te baise maintenant?......" la taquina Eric hilare.
- "Alors demande le moi!....."
- "Oui, fourrez moi!.....;." Cynthia avait peine à croire que c'était sa voix demandai à être baisée.
Eric s'avança encore introduisant son gland entre ses babines avides. Déjà Cynthia roulait des hanches pour happer son pénis. Il se pressa à l'orée de sa foufoune.
Après ce qui lui sembla durer une éternité, il s'enfouit enfin progressive-ment dans sa petite chatoune, elle allait enfin jouir!.....
Il la laboura quelques secondes et sortit prestement de sa cramouille. - "Nonnnnnnnnnnn ...." le supplia Cynthia frustrée.
- "Oh je vais te baiser ma jolie!.....
Mais pas dans ta chatoune!...."
Cynthia entendit ronronner le moteur de levage de la table d'examen, puis elle senti le siège descendre sous ses fesses.
Les chevilles liées dans les étriers elle se retrouva rapidement le cul sur-plombant la table de quelques centimètres, c'est alors qu'elle senti Eric pointer son gland contre son petit oeillet affolé.
- "Oh mon Dieu non ......" balbutia Cynthia.
- "S'il vous plait ..... Pas dans le cul ..... Je ne l'ai jamais fait!....." elle avait essayé une seule fois la sodomie, mais la douleur dès que le gland de son petit ami d'alors avait franchie le premier sphincter l'avait dissuadée de poursuivre plus loin la chose.
Elle serrait étroitement les fesses mais se rendit bien vite compte que la cyprine dégorgeant de sa chatte inondée avait coulé sur son anus ce qui facilitait son effraction par la pine d'Eric, et comme de plus il avait trempé son gland dans sa foufoune histoire de la lubrifier pour lui faciliter le pas-sage!.....
IL pressait maintenant fortement son gland contre sa minuscule ouver-ture, Cynthia balançait des hanches cherchant à lui échapper et conti-nuait de le supplier de ne pas l'enculer.
Elle le suppliait de la prendre en chatte à la place mais il refusait de changer ses plans.
Doucement mais sûrement il commença à forcer son anus récalcitrant.
Plus elle cherchait à résister, plus elle sentait qu'elle perdait cette bataille pour conserver son pucelage anal. D'un brusque coup de boutoir il franchit l'anneau resserré, elle hurla im-médiatement de douleur.
Ses hurlements s'accrurent alors qu'Eric enfouissant de plus ej plus pro-fondément son épaisse bite dans ses entrailles crispées.
Sans aucune pitié, il entreprit alors des vas et viens douloureux dans son boyau meurtri.
Cynthia pensait que la douleur n'aurait pas été plus intense sin on l'avait embrochée sur un pal gigantesque.
Il lui semblait que quelqu'un venait de lui enfoncer une batte de base-ball dans le cul, Eric continuait à labourer son trou du cul doucement, lasci-vement.
Ses cris continuèrent le temps que son anus s'adapte à la conformation de son agresseur, mais si la douleur diminuait, elle subsistait encore de façon cuisante.
Cynthia pensait qu'elle aurait du s'évanouir tant la douleur était intense, mais il n'en fut rien, Eric continuait à lui marteler le fion encore et encore et encore ......
Gardant le rythme de sa chevauchée il lui grimaçait des sourires railleurs tout en la fourrant par le trou du cul. Après plusieurs minutes de ce traitement il grogna avec extase, puis il se vida les couilles dans ses entrailles tout en continuant à lui pilonner énergiquement le fondement.
Lorsqu'il cessa enfin, Cynthia respirait avec difficulté, elle resta étendue aussi sereine que possible en sentant son épaisse queue glisser lente-ment hors de son anus béant. Puis il extirpa brusquement sa bite avec un "plop" sonore, il lui semblait que ses muqueuses se retroussaient accompagnant le retrait de sa bite. Eric baissa la tête et se remit à laper son petit minou.
Progressivement Cynthia oublia la douleur irradiant de son petit cul et se remit à apprécier ses caresses langoureuses.
Eric continuait la rapprochant de plus en plus d'un nouvel orgasme, mais à chaque fois qu'elle était prête à exploser, il interrompait ses caresses. Cynthia ne pensait pas pouvoir endurer plus de frustrations, elle le sup-pliait de la faire jouir.
Soudain Eric réalisa que sa bite avait repris une raideur de bon aloi, il se plaça sur le coté de la table d'examen et pointa sa bite sur le visage de Cynthia.
- "Si tu me suces de tout ton cœur, je te fourrerai ma bite dans la chatte pour te faire jouir!...."
Cynthia aurait fait n'importe quoi pour qu'il la fasse enfin jouir.
Elle emboucha sa queue qui sortait de son trou du cul et se mit à la su-cer avidement., déjà elle se grossissait dans sa bouche.
Dès qu'il fut prêt, Eric la repoussa et retourna se positionner entre ses cuisses, il utilisa de nouveau sa grosse bite pour accroître son excitation. -
Service militaire partie 3
- Le 15/04/2019
- Dans Histoires érotiques
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SERVICE MILITAIRE 3
Assise au volant de ma voiture, j'attends que la sentinelle ouvre la barrière pour me permettre d'entrer dans la cour de la caserne. Il est jeune et il me regarde avec insistance. Un frisson me parcoure l'échine. Aurait- il vu les photos compromettantes que David possède sur moi et certaines des autres femmes de la caserne? Ou pire! M'aurait il déjà « possédée » au cours des « soirées » que David organise? Depuis que je suis devenue bien malgré moi l'esclave du chauffeur du Commandant suite au chantage qu'il exerce sur moi et d'autres femmes d'officiers, je suis sollicité à de multiples occasions par certains des soldats de ce régiment où mon mari a été muté. Il est en ce moment en mission en Côte d'Ivoire, il est parti avec le mari de Valérie et Marie-Dominique, les deux autres femmes victimes de ce chantage odieux. Le Commandant, lui, est resté, mais il s'absente souvent la journée ce qui fait que sa femme, Béatrice, se retrouve vite contrainte d'obéir aux ordres pervers de David. Il nous menace de rendre publique des photos qui ont été prisent lors d'orgies où nous avons participé. Au départ, il nous a coincé en nous prenant en flagrant délit d'adultère. Il nous a demandé de piéger la femme d'un jeune capitaine qui vient d'arriver, Elisabeth, je vous ai déjà parlé d'elle dans l'épisode précédent. Depuis, je me demande comment m'y prendre. La barrière se soulève enfin et je remercie le soldat d'un sourire. Quel âge peut il avoir? 25/30 ans . Je roule tout doucement et commence à entrer dans la cour, il sort de la guérite et d'où il est je comprends très vite qu'il a une vue plongeante sur mes cuisses généreusement dévoilées par la minijupe que je porte, laissant même apparaître l'attache du porte-jarretelles que je suis plus ou moins contrainte de mettre maintenant puisque David nous obligent les autres filles et moi à nous habiller sexy. En « pute BCBG » comme il dit lui-même. Moi qui est toujours été contre ce genre d'accessoires que je considère comme futiles. Je suis quand même surprise quand la sentinelle me fait signe de stopper la voiture et de venir le rejoindre. je m'exécute un peu inquiète et sort du véhicule, lui dévoilant une nouvelle fois mes cuisses gainées de bas noirs. Mes talons claquent sur le bitume quand je vais le rejoindre. Il me pousse dans la guérite et je reste sans voix. Valérie, l'épouse du lieutenant, est à genoux en train de pomper avec ardeur le sexe énorme d'un soldat qui se trouve dans la petite guérite. Quand on passe à coté, on ne la vois pas.Tout juste peut on apercevoir le haut de sa tête qui monte et qui descend sur la bite dressée. Sa jupe relevée jusqu'en haut des cuisses permet de voir qu'elle n'a pas de sous vêtements et ses bas autos fixant sont filés. A force d'avoir été triturés par ces deux soldats sans doute. - Elle est là depuis ce matin, me lance la sentinelle. Abasourdie, je regarde l'heure à ma montre. Depuis ce matin! Il est plus de 11h00! Sa veste de tailleur est ouverte et ses seins lourds pendent. Ils sont rouges d'avoir été malaxés. Sa bouche est déformée par le membre qu'elle suce. Elle me jette un regard où je lis un mélange de peur et de soumission mais aussi une certaine forme d'excitation. - C'est devenu une vraie pipeuse! ricane le soldat..Depuis ce matin, elle a du en sucer une quarantaine. Prise d'une nausée, je manque de m'évanouir. J'aperçois alors les traînées de sperme séché qui macule ses seins. Le soldat sort sa queue et la positionne entre ses deux seins ordonnant à Valérie de les prendre elle-même à pleines mains et de le masturber avec! La jeune et jolie épouse du lieutenant s'exécute et le branle avec ses seins en tétant le gland avec le bout de sa langue par moment. Le soldat ne tarde pas à jouir aspergeant les seins de Valérie de sa semence visqueuse. Je suis repoussée dehors par la sentinelle dont je ne connais toujours pas le nom et il me lance : - Tu peux y aller! On la garde encore un peu. La prochaine fois, ce sera ton tour. Exerce-toi! me lance-t- il en éclatant de rire. Je remonte dans ma voiture et m'empresse de partir abandonnant Valérie à son triste sort. L'après midi, je reçu un coup de fil de Béatrice, la femme du Commandant, qui me demanda de venir la rejoindre dans son appartement. Elle insista sur le fait que je devais mettre une tenue très sexy. Je me dirigeai vers son logement en traversant la cour. De nouveau, je constate que les regards des militaires sont posés sur moi et mêmes certaines épouses de militaires me dévisagent avec dédain et stupeur pour d'autres. Il faut dire que je suis habillée de façons vraiment osée. Il fait très beau et un soleil magnifique nous annonce l'arrivée de l'été. J'ai mis un T-shirts au décolleté échancré sans soutien gorge ce qui fait que mes seins jouent librement dessous. Ma jupe blanche ultra courte m'arrive au tiers de mes cuisses qui sont recouvertes d'un collant noir malgré la chaleur. Le contraste entre le noir et le blanc est terriblement excitant. Des talons aiguilles rouges complètent ma tenue. Une vrai pute pensais je mais c'est comme cela que me veut David .J'arrive devant le logement de Béatrice et c'est elle qui m'ouvre me soufflant : - Vite, vite, rentrez! me lance-t-elle apeurée. Je la comprends. La pauvre Béatrice, la si distinguée épouse du Commandant de la caserne est habillée comme la dernière des trainées. Elle est vêtue d'une guêpière avec un porte-jarretelles qui retient des bas noirs. Les cuissardes en vinyle qu'elle portes ,aux talons immenses, la grandisse encore plus et elle a du mal à marcher. Elle porte autour du cou un collier de chien! Je m'avance dans le salon et je découvre Marie-Dominique assise sur une chaise les chevilles attachées aux pieds et les mains liées également. Elle est vêtue d'une jupe courte sur des bas blancs et des talons hauts. Son soutient gorge est baissée dévoilant sa poitrine. Ses seins sont malaxés par deux hommes qui sont masqués! La porte de la cuisine s'ouvre et Valérie accompagné d'Audrey sortent. Valérie est habillée comme une veuve! Mais en plus sexy. Elle ne porte qu'une veste de tailleur sans jupe, des bas avec un chapeau à voilette et des gants en dentelles. Ses escarpins vernis affinent ses jambes. David s'approche de moi me dévisageant un instant. Je frémis en sentant son regard sur moi. Il s'attarde sur mes seins. Puis il me demande de soulever ma jupe. Je m'exécute la retroussant dévoilant mon collant. Je ne porte rien dessous bien évidemment et je me suis rasé la chatte comme il me l'a demandé. Je sursaute en entendant sonner à la porte. La femme du Commandant va ouvrir et plusieurs hommes rentrent. Ils sont tous masqués mais ce qui me surprend c'est que certains ne sont pas en treillis..Ne serait ils pas militaires? David a-t-il fait venir des gens de l'extérieure? David les salue et va discuter à voix basse avec eux. J'entends un gémissement et me retourne. Un des hommes masqués a sortit son membre épais de son pantalon et vient de l'engouffrer dans la bouche de Marie-Dominique. Il pose sa main sur sa tête, la guidant, et la pauvre Marie-Do le pompe, baissant la tête avec régularité, allant tellement loin que par moment son nez vient toucher le pubis de l'homme. Elle doit changer de partenaire et sucer l'autre en alternant entre les deux hommes. David s'approche de moi et me penche sur la table me retroussant totalement la jupe qui se retrouve tirebouchonnée autour de ma taille. Il me déchire mon collant, exposant mon cul à la vue de tous.Très vite, je sens qu'on vient me palper les fesses. Des doigts s'insinuent dans ma chatte. Audrey emmène Valérie devant les nouveaux arrivants et leur propose de se « taper » une veuve perverse.Trois hommes se précipitent comme un chien sur un os et entreprenne de lui ouvrir sa veste de tailleur dévoilant ses seins emprisonnés dans un soutien-gorge en dentelle noir.On lui malaxe les seins.Elle a ouvert les jambes et des doigts inquisiteurs lui triture le clitoris et la branle.Elle pousse un gémissement.Audrey se dirige vers un canapé et s'allonge dessus après avoir enlevé son pantalon de treillis, elle ôte rapidement son string, et écartant les cuisses, elle lance à Béatrice : - La vieille! Viens me sucer! Béatrice, docile, s'exécute.Elle se met à genoux devant la chatte d'Audrey et commence à lui lécher le clitoris. Nous fûmes toutes les quatre prisent de toutes les façons possibles et inimaginables par ces pervers.Ils nous humilièrent sans avoir une once de remords. Audrey prit un malin plaisir à humilier la femme du Commandant.A quatre pattes, elle dut se rendre devant chaque « invités masqués » et les sucer. Son visage et ses seins furent vite recouvert de spermes.Valérie, à genoux sur le canapé, fut baisée violemment par plusieurs hommes. Une bite dans la chatte, une autre dans son cul, elle fut défoncée par ces brutes.La bouche ouverte, elle cria plusieurs fois, gémissants sous les assauts de ces inconnus. Je crois qu'elle a eu plusieurs fois des orgasmes. Marie-Dominique, toujours ligotée sur sa chaise, a sucé tellement de queues qu'elle a la commissure des lèvres toute rouge et on a l'impression qu'elles ont doublé de volume. Elle n'a pas le temps de reprendre sa respiration.Chaque fois qu'un des hommes éjaculent son sperme dans sa bouche ou sur son visage, un autre le remplace aussitôt malgré les suppliques de l'épouse du lieutenant. Ses seins sont malmenés par des centaines de mains et ils sont également tout rouges.Je la regarde en train de pomper un membre pendant qu'un autre lui suce le bout de ses seins et qu'un troisième, à genoux devant la chaise, s'amuse à essayer de lui enfoncer sa main dans sa chatte dégoulinante. David s'est occupé de moi.Il m'a poussé contre le mur du salon et m'a prise debout.J'ai poussé un petit cri quand j'ai senti sa bite qui s'introduisait dans mon vagin. Il a commencé un mouvement de va et vient, d'abord lentement puis de plus en plus vite.Son ventre claque contre mes fesses, ses mains sont crispées sur mes hanches.Il me besogne avec force.C'est plus fort que moi, j'halète sous ses coups de boutoirs, je gémis. Mon Dieu! J'ai honte. Je sens l'orgasme arriver. Je vais jouir. Je me mords les lèvres pour ne pas hurler. David accéléra ses coups de reins et se retira éjaculant sur mon dos. Je sens le sperme qui coule et tentant de reprendre ma respiration après l'orgasme qui vient de me terrasser, je m'écroule à ses pieds. Valérie, les yeux révulsés de plaisir, poussa un hurlement quand les deux hommes jouirent en même temps dans sa chatte et son cul. Ils se retirèrent et elle du nettoyer leurs queues avec sa langue. Marie- Dominique est prise en photo par les hommes qu'elle a sucer pendant des heures, le regard fou, les seins recouvert de sperme, elle hésite à regarder l'objectif, honteuse.Un de ces ignobles pervers lui a introduit le goulot d'une bouteille dans la chatte.Elle a jouie et la chaise est souillée par ses sécrétions vaginales.Béatrice, allongée sur la moquette, les jambes relevées à la verticale se fait défoncer à grands coups de reins par un de ces mystérieux hommes masqués. Son ventre claque contre son pubis. Elle pousse des feulements rauques en ondulant du bassin. Audrey prend des photos en la traitant de salope. - Tu prends ton pied petite vicieuse, sale bourge, si ton mari te voyait! Tu n'as pas honte? Et si mon mari me voyait moi? Pensais je et si ils nous voyaient toutes.Comment réagiraient ils si ils savaient, nos petits maris, que leurs femmes, leurs épouses si respectables dont ils sont si fières.Bonnes mères de famille et si bourgeoises.Si ils savaient que nous nous comportons en véritables chiennes des qu'ils sont partis à l'étranger pour servir leur pays. Les invités de David sont tous partis.David et Audrey s'adressent à nous pendant que nous tentons tant bien que mal de nous nettoyer et de reprendre figure humaine. - J'ai eu des infos sur la respectable épouse du capitaine.Avant d'être muté ici, son mari était en poste au Liban. Elle était restée dans le sud à Perpignan. Elle a entretenue une liaison avec un jeune appelé. Manque de chance pour elle, un des soldats qui était dans la même caserne est dans la notre aujourd'hui. Patricia, tu vas donc lui mettre le marché en main des demain! Pourquoi moi? Cela m'enthousiasme guère d'être la « rabatteuse » de David..Mais ais je un autre choix que celui de lui obéir? Il jubilait à l'idée de savoir qu'il allait pouvoir soumettre l'épouse du capitaine Repo...à suivre.
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Service militaire partie 2
- Le 15/04/2019
- Dans Histoires érotiques
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SERVICE MILITAIRE 02
Bonjour à tous, c'est Patricia. Si vous vous rappelez bien, je vous ai déjà raconté dans un 1er épisode comment je suis devenue avec d'autres épouses respectables la proie de militaires pervers au sein de ce régiment où mon mari est officier. La propre femme du commandant, Béatrice, est devenue leur esclave sexuelle. David, le chef de ces pervers, m'avait demandé de piéger l'épouse du capitaine qui venait d'arriver. Elisabeth, c'est son prénom, est grande, jolie, très distinguée.Une vrai bourgeoise m'a dit David. C'est une aristocrate, il parait, descendant de la vieille noblesse française. Sa soeur est l'épouse du Maire de la commune et sa belle-mère est l'épouse d'un Député. Elle est assez hautaine et quand on la croise avec ses enfants, elle a tendance à nous regarder de haut. David m'avait donc demandé d'emmener Élisabeth à notre prochaine « soirée » qui se déroule toujours dans la cuisine ou dans le garage de la caserne. En effet, régulièrement, David m'emmène ainsi que Béatrice dans le garage ou nous sommes baisés par les jeunes recrues qui prennent un malin plaisir à pouvoir se venger des officiers qui les rabrouent toute la journée en humiliant leurs femmes. Ils nous tiennent en exerçant sur nous un ignoble chantage par des photos qui ont été prisent et David et ses complices menacent de les montrer à nos maris. Je suis chez moi en train de me préparer pour aller chercher les enfants à l'école quand j'entends sonner. Je vais ouvrir et me trouve nez à nez avec David et Audrey, sa complice et maîtresse. Béatrice est là aussi ainsi que Marie-Dominique, la femme de l'adjudant-chef. Ils entrent et je baisse la tête sachant déjà ce qu'il va se passer. Marie-Dominique est vêtue d'une jupe en cuir sur des bas résilles et des talons aiguilles accentuent encore la finesse de ses longues jambes. Un corset a du mal à cacher sa poitrine et on a l'impression que ses seins vont jaillir du décolleté. Béatrice, elle, est vêtue d'une jupe courte arrivant à mi-cuisses. Ses jambes sont gainées de nylon couleur chair. Elle porte également des talons aiguille à brides et un chemisier mais dont les trois premiers boutons sont ouvert laissant apparaitre un soutien-gorge rouge. J'imagine que pour ces femmes si correctes le calvaire que cela a du être d'être obligée de traverser la cour de la caserne dans cette tenue sous le regard des autres militaires et leur épouses. David s'approche de moi et s'empare d'un de mes seins à travers le pull fin que je porte à même la peau. Je pousse un petit cri. David sourit. - Alors, tu allais chercher tes enfants? - Oui...Oui, bafouillais je en fermant les yeux. David me malaxe un sein. Il souleva mon pull découvrant mon soutien-gorge dont il baissa les balconnets. Il s'empara de mes deux seins et tordit les pointes m'arrachant un gémissement de douleur. Pendant ce temps, Audrey a ordonné à Béatrice et Marie-Dominique de soulever leur jupes. Elles sont toutes les deux culs nu dessous! Audrey obligea Marie-Dominique à s'accroupir et a sucer la chatte de Béatrice. Je rappelle que Béatrice a la cinquantaine et que Marie-Dominique vient d'avoir 41 ans.Quand a moi, j'ai 38 ans. - Tu as réussi? me susurre David tout en continuant de me caresser les seins a travers mon pull.Tu viendras avec Elisabeth demain soir? Je gémis malgré moi.Ce n'est pas possible! Pas demain soir, c'est trop tôt. Je le signale à David qui ne répond pas. Délaissant mes seins, il a plongés deux doigts dans ma chatte après avoir relevé ma jupe. Je ne porte plus de pantalon. David me l'interdit. Ni de collant du reste sauf si il me l'ordonne. Pareil pour mes compagnes d'infortune. Nous devons être sexy et accessible en n'importe quelle circonstance. Nos maris n'ont pas remarqué de changement dans la façon de nous habiller. Peut être même apprécient ils? Il enfonce son index dans ma chatte, me titillant le clitoris. Il s'amuse ensuite a caresser mes cuisses. Le nylon crisses sous ses doigt. J'entends une protestation étouffée et David se retourne. Marie-Dominique, à genoux sur la moquette, les cheveux tenue par Audrey est contrainte de pomper le clitoris de Béatrice qui donne de petits coups de reins en se mordant les lèvres pour ne pas hurler...de douleur ou de plaisir? A voir son expression sur son visage, je penche pour le plaisir. Audrey a presque enfoncer sa main dans la chatte béante de Marie-Dominique et la branle sans ménagements arrachant des gémissements à l'épouse de l'adjudant-chef. David appuya sur mes épaules pour me mettre à genoux. - Tu sais ce que tu dois faire! me dit-il d'un ton autoritaire. Je m'empressais de lui sortir la bite de son treillis. Elle jaillit, tendue, raide, gonflé a bloc. le gland luisant. Il appuya un peu sur ma nuque et je me penchais. Ma bouche emprisonna son sexe et je commençais à le sucer avec écœurement mais aussi, je dois bien l'avouer, avec une espèce de plaisir sale. Une excitation trouble. Ma langue s'enroule autour de son gland, je le pompe en faisant des bruits humides. On entend plus dans le salon que des petits cris, des gémissements, des plaintes étouffées. Sous ses directives, je dois le branler et lui lécher les couilles puis replonger sur sa queue..Il agrippe ma tête et la tenant fermement donne de violents coups de reins me « baisant » par la bouche. Je manque d'étouffer et j'ai un haut le cœur. Audrey continue de branler Marie-Dominique qui n'en pouvant plus a arrêter de sucer Béatrice. Elle secoue la tête dans tous les sens suppliant Audrey d'arrêter. La jeune fille avec un rictus ignoble continue de plus belle, lui enfonçant tout ce qu'elle trouve sous la main.Une banane sera même enfoncée dans son vagin et morte de rire Audrey ferra une photo avec son appareil numérique. David se retira précipitamment de ma bouche et éjacula libérant des trainées blanches qui fusèrent allant s'écraser sur mon visage. Au même moment, Marie- Dominique eut un orgasme foudroyant la laissant pantelante sur la moquette.La bouche ouverte, comme un poisson hors de l'eau, cherchant à reprendre sa respiration. Audrey s'allongea par terre et appela Béatrice. - Toi la vieille, vient me brouter le clito, petite salope, voire comment tu te débrouilles. Rouge de honte d'être traiter de vieille et de salope par une gamine qui pourrait être sa propre fille, la femme du commandant avança et se mit a genoux. Audrey appuya avec force sur sa tête et elle sortie sa langue. Je m'essuie le visage dégoulinant de sperme et observe Marie-Dominique, agonisante sur ma moquette, et Béatrice à genoux qui suce la chatte d'Audrey. David aussi regarde la scène en se branlant, son sexe a déjà repris toute sa vigueur et il a le regard rivé sur le cul de la femme du commandant. - Putain! Il me le faut ce joli petit cul! Il se précipita et se rua dans le sexe ouvert de Béatrice qui poussa un grognement quand elle sentit la bite de David qui s'enfonçait dans sa chatte. Il agrippa ses hanches grasses et commença à la limer brutalement, son ventre claquant contre ses fesses. Il la besogne a grand coups de reins, la traitant de salope et de trainée. Cela semble beaucoup l'exciter. Les fesses de Béatrice tressautent sous ses coups de boutoirs. Audrey continue toujours de lui maintenir la tête l'obligeant à la sucer. Elle pince le clitoris d'Audrey, lui arrachant un gémissement. Tout en se caressant les seins, Audrey gémit et donne aussi des coups de reins. - Oh oui, quelle salope. Elle sait y faire cette chienne. David cessa son va et vient et se retira d'un coup, raide et dure comme de l'acier. Il tâtonna et trouva l'ouverture de ses reins. L'épouse du commandant voulut crier mais d'une main de fer, Audrey lui appuya sur la tête l'obligeant à continuer à la sucer. David s'enfonça dans ses reins progressivement. Sa bite s'enfonça entièrement dans le cul de la femme du commandant. Il commença à bouger, d'abord doucement, lui permettant de s'habituer, puis de plus en plus vite. Bientôt, la bite coulissa parfaitement dans le cul de Béatrice. Les cris de l'épouse de commandant faiblirent puis se muèrent en gémissements. Audrey poussa un hurlement, jouissant comme une folle, barbouillant de cyprine le visage de Béatrice. David se mit à la bourrer de plus en plus violemment, arrachant des cris à Béatrice et il éjacula dans son cul. La femme du commandant se relève, pantelante, haletante, toute rouge et elle se frotte le cul en faisant une grimace. Ce n'est pas une adepte de la sodomie. David nous positionne toutes les trois à genoux, les mains sur la tête, cette position faisant ressortir nos seins. Audrey prend des photos. David s'adresse à nous trois. - Ecoutez moi les salopes, débrouillez vous comme vous voulez mais demain vous amenez la femme du capitaine à notre soirée. je la veux à mes pieds celle la. Je la vois très bien en train de sucer tous les mecs du régiment. c'est une salope sous ses air de bourge. Après avoir donné ces instructions, David et Audrey partirent nous laissant récupérer. Je me dépêchais de me rhabiller et de redevenir convenable. Il fallait que j'aille chercher mes enfants à l'école.
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Service militaire partie 1
- Le 12/04/2019
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SERVICE MILITAIRE Partie 1
Par: Mike
Mon mari est militaire. Officier dans un régiment de parachutiste. Il est donc fréquemment absent. Il part souvent en opération extérieure et dans des pays à risques comme l'Afghanistan, le Kosovo ou la Bosnie. Je m'appelle Patricia, j'ai 38 ans, je ne suis pas très grande, brune, plutôt Jolie Marc, mon mari, m'a fait 5 beaux enfants, que j'élève seule la plupart du temps. Je vis en caserne dans la région parisienne. Il y a une grande solidarité entre femmes de militaire quand l'une d'entre elle se retrouve seule pour de longs mois. Depuis deux mois, mon mari ainsi que plusieurs autres sont partis en mission nous laissant de nouveau seule. Je passe souvent l'après midi avec d'autres femmes de militaire quand les enfants sont à l'école. L'une d'entre elle, Béatrice, est la femme du commandant de la garnison. La cinquantaine épanouie toujours tirées à quatre épingles, rivalisant d'élégance dans des tailleurs très chics, j'ai un peu honte de m'habiller qu'en pantalon ou avec de longues jupes et des chaussures à talons plats alors qu'elle ne mets que des escarpins aux talons qui me paraissent démesurément grand! Mais avec les enfants à m'occuper, il est vrai que je ne prends plus le temps de prendre soins de moi. Et puis pourquoi m'habiller plus sexy? Pour plaire à qui? Je n'ai qu'un seul homme dans ma vie, mon mari! Un jour, la voiture de fonction du commandant rentra dans la cour, conduite d'une main de Maitre par David, le chauffeur du commandant. Celui-ci n'étant pas la, il devait s'agir de Béatrice. En effet, elle sorti de la voiture que David s'empresse de lui ouvrir. Elle sort en dévoilant généreusement ses jambes gainées de nylon noir, la jupe remontée pratiquement jusqu'à l'aine. Le chauffeur se rince l'œil et regarde les cuisses de la femme du commandant. Je suis choquée de la voir se comporter de cette façon, elle pourrait faire attention quand même et mieux se conduire! Mais enfin, ceci ne me regarde pas après tout. Le soir même, je sortais rapidement de chez moi, les enfants étant couchés, pour aller demander à une de mes voisines de bien vouloir me donner des oeufs pour faire une omelette. Je traversais la cour sous le regard de plusieurs militaires qui me dévisage ce qui me fit rougir comme une première communiante. Je passais devant le garage et j'entendis un bruit. Je m'arrêtais net, tendant l'oreille. Un voleur? Non pas possible. Je m'interroge. Dois je prévenir la Sentinelle? Le coeur battant la chamade dans ma poitrine, je m'approche du garage et entrouvre la porte. J'aperçois un homme debout, de dos, Je reconnais David, il est face à Béatrice, toujours vêtue de son tailleur du matin. - Alors? Tu te décides?
Béatrice, blanche, semble abattue. Que se passe t'il donc? Elle ouvre la veste de son tailleur d'une main tremblante dévoilant sa généreuse poitrine qui déborde de son soutient gorges. David s'approche et lui baisse les balconnets. Les seins lourds de Béatrice le narguent, les pointes dardant fièrement. David lui appuya sur la tête et elle s'agenouilla devant lui. Je ne vois plus bien la scène maintenant mais il n'est pas bien compliqué de comprendre qu'elle est en train de lui sortir son sexe pour lui faire une fellation! Je reste interloquée, je n'aurais jamais pensé que la femme du commandant pouvait se comporter de cette façon! Je n'entends plus que les halètements de David qui donne des coups de reins pour mieux s'enfoncer dans la bouche de Béatrice. David la relève et la cambre sur le capot de la voiture de son mari. Il lui releva sa jupe dévoilant ses bas noirs et le porte-jarretelles. Son sexe, tendue, luisant dans l'obscurité est impressionnant par sa taille. Je rougis en pensant que je suis en train de regarder cette scène honteuse. Mais je ne parts pas, je reste comme hypnotisée. David embrocha Béatrice d'un furieux coup de rein et celle-ci poussa un long gémissement quand elle sentit la bite de David la pénétrer. Il commença à s'agiter la bourrant frénétiquement, la baisant sauvagement en lui donnant des grands coups de reins. Béatrice, les cheveux en bataille, la bouche ouverte, le rouge aux joues, halète et secoue la tête dans tous les sens en balbutiant des mots sans suite . - Oui. plus loin. Plus fort. Je ressens une douce chaleur dans mon bas-ventre. J'ai la gorge sèche. Je n'arrive pas à détacher mon regard de cette horrible scène qui est en train de se dérouler sous mes yeux. Je ne peux que regarder la bite de David qui rentre et sort de la chatte de Béatrice qui gémit de plus en plus fort. Sans m'en rendre compte, ma main descend à auteur de mon bas ventre et commence à caresser mon Mont de Venus. Je suis vêtu d'une jupe longue que, après avoir hésité une fraction de seconde, je commence à relever. Je regarde autour de moi, terrorisée. Et si quelqu'un me voyait? Je me caresse a travers mon collant couleur chair. Ma main se faufile dans mon collant et écarte mon string. Mes doigts impatient s'empare de mon clitoris et le pince, le tord. David a relevé Béatrice et l'a mise sur le capot, ses jambes relevées à la verticale, posées sur ses épaules. De nouveau il la défonce à grand coups de reins. Il s'enfonce avec tellement de fougue qu'un des escarpins de Béatrice tombe par terre! Elle donne des coups de bassin comme pour mieux s'empaler sur la queue de David qui la pistonne Je titille mon clitoris en me mordant les lèvres, je donne inconsciemment des coups de bassins. Je gémis. Et sans le savoir, Béatrice répond à mon gémissement en poussant un cri! Elle vient de jouir. David continue de la baiser en lui demandant si elle aime se faire troncher comme une salope.Elle ne répond pas, ne poussant qu'un gémissement. Une houle délicieuse traverse mon bas ventre, je me mords les lèvres pour ne pas hurler quand l'orgasme me terrasse. Les jambes flageolantes, je manque de tomber par terre. David a sortit sa bite et se masturbe au dessus du visage de la femme du commandant qui ouvre la bouche et sort sa langue. Il poussa un cri en déchargeant tout son sperme sur le visage de Béatrice. Elle reçu sur son nez des filaments qui coulèrent jusque sur son menton. Honteuse, je laisse retomber ma jupe et fais demi tour pour rentrer chez moi. J'ai eu beaucoup de mal à m'endormir après avoir été le témoin involontaire des débauches de la femme du commandant. Toute seule dans mon lit, je me suis masturbée plusieurs fois avant de sombrer dans un sommeil réparateur. Le lendemain matin, je sortais pour aller faire des courses en centre-ville quand je tombais sur Béatrice et son époux de commandant qui me salue. Il est vraiment la caricature du militaire, raide comme la Justice, les cheveux coupé très court, un regard froid, une allure martiale. Je discute avec eux parlant de tout et de rien. Pendant qu'il me parle, je me demande s'il est au courant que sa femme se fait troncher par son chauffeur? J'intercepte plusieurs fois le regard inquiet de Béatrice posée sur moi. Un doute affreux me saisie. M'aurait' elle vu hier soir? Les enfants sont couchés et je suis devant la télé ou je regarde « Qui veut gagner des Millions? » Jean-Pierre Foucault est en train de poser les premières questions du 1er palier (les plus faciles) quand la sonnette retentit. Je me lève pour aller ouvrir, je n'ai pas peur, je vis avec des militaires. Il n'y a pas mieux comme protection. Je suis étonnée de découvrir Béatrice et David. Celui-ci pousse Béatrice dans mon appartement et ils entrent sans vraiment me demander mon avis. Je suis suffoquée par autant de sans-gêne mais je ne dis rien, c'est quand même l'épouse du commandant. Béatrice est habillée de façon curieuse. Elle porte un manteau de fourrure ce qui est surprenant, la température extérieure n'étant pas particulièrement fraiche ce soir .Je suis vêtue d'un jogging et je m'en excuse auprès de mes « invité » de dernière minute. David me regarde et me lance - C'est vrai que ce n'est pas tellement sexy, vous pourriez vous habiller autrement, prenez exemple sur Mme. Je reste stupéfaite devant autant d'aplomb! De quel droit un simple chauffeur se permet' il de me parler sur ce ton, mais pour qui se prend-il? Je regarde Béatrice qui ne dit pas un mot, baissant les yeux. David s'approche de moi. - Tu t'es bien rincer l'œil hier soir, pas vrai? T'as pris ton pied, ma salope? Mon visage s'empourpra et je sentis mon coeur s'accélérer. Mon Dieu! Il m'avait vu! David sortit des photos de sa poche me les tendant avec un sourire ironique. Je failli m'évanouir en me reconnaissant sur les clichées! On me voyait nettement en train de me masturber hier soir. Qui avait pu prendre ces photos? Ce ne pouvait pas être David puisqu'il était trop occupé a ce moment la ni Béatrice. Comme si il lisait dans mes pensées, David m'expliqua. - C'est Bruno, la sentinelle de garde hier soir qui t'as vu et a pris ces photos avec son téléphone portable. Bon elles ne sont pas de super qualités, je le reconnais, mais on te reconnaît bien non? Je ne réponds pas, oui on me reconnaît très bien même. David s'approcha de Béatrice et lui demanda d'ouvrir son manteau de fourrure. Elle rougit violemment et me lança un regard apeurée. Elle s'exécuta, ouvrant son manteau. Elle apparut uniquement vêtue d'un porte- jarretelles rouges avec des bas et des talons aiguilles rouges également. Je reste sans voix en découvrant la femme du commandant attifées de cette manière. Comme une pute! - Tu vas venir avec nous, je vais te montrer quelque chose de très intéressant. Je proteste que je ne veux pas venir avec eux mais David me menace alors de montrer les photos à tous les trouffions de la caserne. J'imagine la réaction de mon mari si cela s'apprend.Je vais pour enfiler un anorak quand David m'arrêta. - Attends! Tu vas te saper autrement ; t'as rien de plus sexy? Je suis contrainte de l'emmener dans ma chambre ou il inspecte ma garde robe.Il me sort un short que je ne mets que l'été et une paire de collant couleur noir mais brillant satinée avec des escarpins à hauts talons que je n'ai du mettre qu'une fois dans ma vie au cours d'une soirée.Il me demande de rester seins nues comme Béatrice. J'enfile un imperméable. Je proteste une dernière fois que je ne peux partir en laissant mes enfants seules. David sort son téléphone et appelle quelqu'un. Quelques minutes plus tard, une jeune fille en uniforme de soldat arrive. Je la connais de vue, elle vient d'être affectée dans cette caserne. Elle embrasse goulûment sur la bouche David. Ils sont donc amants.Elle me regarde et demande. - C'est elle ta nouvelle recrue? Je reste interdite. Nouvelle recrue? Ils y en auraient d'autres? Et recrue pourquoi faire? Elle s'approche de moi et écarte les pans de l'imperméable. Ses mains s'empare de mes seins et commence à jouer avec. Les triturant, les malaxant. Elle me tord les pointes et je pousse un petit cri! David a demandé à l'épouse du commandant de s'agenouiller et elle s'active sur son pantalon pour lui sortir sa queue. Je subi les attouchements de cette jeune fille qui me semble aussi perverse que David. Elle me caresse partout sur le corps et je commence à être troubler.Sa main s'aventure dans ma chatte, elle y introduit deux doigts et les fait coulisser. - Quelle cochonne! Elle est déjà trempée. J'ai l'impression de suffoquer, j'ouvre la bouche et je pousse une légère plainte. Les doigts me branlent sans s'arrêter, me pince mon clitoris, je donne des coups de reins involontaires. J'entends comme dans un brouillard, les bruits de sucions produit par la bouche de Béatrice qui pompe la bite de David avec application. La jeune fille, qui s'appelle Audrey, baisse le pantalon de son uniforme et son string, me dévoilant une chatte rasée et bien lisse. Elle m'empoigne les cheveux et approche mon visage de sa vulve. - Suce salope! Subjuguée par l'autorité de cette jeune fille, j'obéis. Je sors ma langue et commence à lui lécher la vulve.Elle m'appuie fermement sur la nuque me contraignant à la lécher. Pendant ce temps, David décharge dans la bouche de la femme du commandant en lui ordonnant de tout avaler. Audrey ne tarde pas à jouir me barbouillant le visage de sa mouille. David me relève et m'explique qu'Audrey va rester pour surveiller les enfants. Nous sortons et nous dirigeons vers la cantine ou mange tous les soldats. Il est un peu plus de 21 heures, il n'y a donc plus personne qui mange à cette heure la. Nous retrouvons le cuistot et quelques soldats tous assez jeunes. J'ignore le nom de la plupart. Tous juste ai je remarqué qu'ils dévisagent parfois les femmes des officiers avec envie. David nous ordonne d'enlever nos manteaux et nous apparaissons dans nos tenues de putes. J'entends des cris étouffées et des protestations et je suis surprise de voir débarquées encadrées par deux autres trouffions, Marie-Dominique, la femme de l'adjudant-chef chargé de la formation des jeunes soldats et qui leur en fait baver régulièrement ainsi que Valérie, une jolie blonde, mère de 3 enfants, épouse d'un autre officier. Elles sont vêtues elle aussi de manières très provocantes. Minijupes, bas, talons aiguilles et seins nues. Alors qu'habituellement, je ne les voies habillées que très sagement d'un pantalon et des chaussures plates! Quelle métamorphose! Automatiquement, on nous positionne à quatre pattes sur le carrelage froid de la cantine devant les hommes. David m'explique que toutes ces femmes ont quelques choses à se reprocher. Quand leur maris s'absentent et risquent leurs vies dans des pays en guerre, elles aguichent les jeunes recrues. David avec la complicité des autres leur a tendu un piège dans lequel elles sont toutes tombées. Succombant à l'appel des sirènes, ou plutôt de la luxure, elles ont trompés leurs maris. Prisent en photo ou filmés, elles n'ont plus d'autres choix que d'obéir. Nous nous regardons toutes, effondrées.Les soldats ont tous sortis leurs queues et se masturbe. C'est terrifiant de penser que dorenavant quand je croiserai dans la caserne un de ces jeunes soldats, je devrait baisser le regard. David sort une camera et commence à filmer. Les 5 soldats s'approchent et nous tirant par les cheveux, nous contraignent à avaler leurs bites. J'entends des gémissements étouffés, des petits cris de protestations.La bite que je suce est énorme et j'ai l'impression d'étouffer. Je m'applique, le pompant, lui suçant le gland. Pendant que je suce cet homme, les soldats ont inventé un jeu extrêmement pervers. Pour se venger de l'adjudant-chef qui leur fait subir des exercices contraignant toute la journée. On décide de faire de même avec sa femme. Marie-Dominique, à plat ventre, doit ramper sur le sol sous les quolibets des soldats. Puis on lui ordonne de faire des pompes et de courir dans le réfectoire Avec des talons aiguilles ce n'est vraiment pas évident, et elle manque tomber plusieurs fois. Pendant ce temps, Béatrice, emmanchée jusqu'à la garde par un des soldats se fait ramoner à grand coups de reins. Valérie, elle, se fait enculer, la bouche ouverte, de la bave coulant sur son menton, le visage ravagée, elle subie les assauts de son enculeur qui la menace de la faire défoncer par son doberman la prochaine fois. Celui que je suce m'éjacule dans la bouche et je suis contrainte d'avaler son foutre. Aussitôt un autre le remplace et un second me pénètre par derrière me déchirant l'anus. Je pousse un hurlement étouffé par la bite que je suce. Marie-Dominique, empalé sur une bite dressée et enculée par une autre se fait défoncer pendant qu'elle suce un autre soldat qui lui a enfoncé sa bite dans sa bouche. Elle pousse des gémissements. Ça dura des heures, nous fumes toutes les trois humiliées et contraintes a toutes les dépravations de la part des ces soldats. Enculées, baisées, soumises a toutes leurs volontées. Et le tout filmé par David que je dus sucer a la fin de la séance mais qui nous arrosa toutes les quatre de sa semence. Nous fumes reconduites dans nos appartements respectifs, couvert de spermes, les bas déchirés. Marie-Dominique titubante car un de ses talons c'est cassée lors de la 2eme séance d'exercice ou elle du encore courir dans le réfectoire. David nous a menacées de diffuser les films et les photos dans toute la caserne si nous en parlions à nos maris.
Régulièrement, je suis emmené dans la cantine ou je retrouve Marie-Dominique, Valérie et la femme du commandant, Béatrice. Aucunes d'entre nous n'en a parlé a son mari et ils ne se doutent de rien. Une nouvelle famille est arrivée dernièrement, la femme de l'officier, une aristocrate, mère de trois enfants, catholique pratiquante, excite beaucoup David. Il m'a demandé de l'aider à la piéger.